Entries Tagged 'Reflexion' ↓

Alternatives to Corporal Punishment

Having spent a week with my lovely grandsons and listening to them, it occurred to me that physical punishment might be an issue for them.

What is the alternative to corporal punishment in child rearing?

Whilst many of us need to instil discipline in our children, we should refuse to use physical punishment. Sanderson Beck does give some alternatives in his literature.

If disciplining is necessary in child-rearing, but we wish to avoid the harmful effects of corporal punishment, what are our alternatives? By refusing to use physical punishment, perhaps we can refine and develop those other techniques which may prove more beneficial and enduring than the easy and quick brutality. Punishment does not have to be physical; it can be social, emotional, or mental. One form of punishment is the administering of an aversive stimulus contingent upon disapproved behavior The other is the removal of a reward or positive reinforcer (Skinner, 1938). The undesirable consequences of punishment are primarily psychological, so it appears likely that non-physical psychological methods may also have negative effects psychologically. However, to avoid using any form of punishment whatsoever is probably too idealistic and impractical. The psychological methods are not as obvious in modeling. Also they are usually stimulating cognitively, and may stimulate the child to develop the mind just as much physical exercise builds muscles. The danger is that negative associations and complexes could result. This is why it is so important that the punishment not only be consistent in how and for what it is applied, but also that it be logical and clearly explained to the child before it is ever instituted and with each occurrence. Even though the child may feel the parent is wrong; if one is consistent, at least the child knows the situation and can learn to understand the psychology of the parent.

Using reasoning to accompany punishment when it is deemed necessary brings up the method of teaching and communicating as an alternative method. This is the ideal method of long-term control of behavior, because it develops the conscience, cognitive skill, and self-discipline. Wouldn’t it be the utopia if everyone took responsibility for their own actions and did not inflict on others? I believe that educators ought to use those methods that teach individual responsibility. Research shows that the development of conscience is related to parental warmth and the use of reasoning as a technique of discipline (Bandura & Walters, 1951; Baumrind, 1967; Sears, 1961). When the child has developed self-control and one’s conscience to the extent that one will no longer do what one knows is wrong even when one knows one won’t be punished, then we could say one’s character education has been successful.

Reflexion Dominicale

Evangile de Jésus-Christ selon saint Jean 1,6-8.19-28.

Il y eut un homme envoyé par Dieu. Son nom était Jean.
Il était venu comme témoin, pour rendre témoignage à la Lumière, afin que tous croient par lui.
Cet homme n’était pas la Lumière, mais il était là pour lui rendre témoignage.
Voici quel fut le témoignage de Jean, quand les Juifs lui envoyèrent de Jérusalem des prêtres et des lévites pour lui demander : « Qui es-tu ? »
Il le reconnut ouvertement, il déclara : « Je ne suis pas le Messie. »
Ils lui demandèrent : « Qui es-tu donc ? Es-tu le prophète Élie ? » Il répondit : « Non. – Alors es-tu le grand Prophète ? » Il répondit : « Ce n’est pas moi. »
Alors ils lui dirent : « Qui es-tu ? Il faut que nous donnions une réponse à ceux qui nous ont envoyés. Que dis-tu sur toi-même ? »
Il répondit : « Je suis la voix qui crie à travers le désert : Aplanissez le chemin du Seigneur, comme a dit le prophète Isaïe. »
Or, certains des envoyés étaient des pharisiens.
Ils lui posèrent encore cette question : « Si tu n’es ni le Messie, ni Élie, ni le grand Prophète, pourquoi baptises-tu ? »
Jean leur répondit : « Moi, je baptise dans l’eau. Mais au milieu de vous se tient celui que vous ne connaissez pas :
c’est lui qui vient derrière moi, et je ne suis même pas digne de défaire la courroie de sa sandale. »
Tout cela s’est passé à Béthanie-de-Transjordanie, à l’endroit où Jean baptisait.

La méditation de Saint Augustin sur le texte de l’Evangile du jour m’a beaucoup touchée.

« Il est venu pour rendre témoignage à la Lumière »

Comment le Christ est-il venu ? Il est apparu en homme. Parce qu’il était homme à ce point que Dieu était caché en lui, un homme remarquable a été envoyé devant lui pour faire reconnaitre qu’il était plus qu’un homme, lui, le Christ… Qui était-il, celui qui devait ainsi rendre témoignage à la Lumière ? Un être remarquable, ce Jean, un homme d’un haut mérite, d’une grâce éminente, d’une grande élévation. Admire-le, mais comme on admire une montagne : la montagne reste dans les ténèbres tant que la lumière ne vient pas l’envelopper : « Cet homme n’était pas la Lumière ». Ne prends pas la montagne pour la lumière ; ne va pas te briser contre elle, bien loin d’y trouver du secours.

Et que faut-il admirer alors ? La montagne, mais comme montagne. Elève-toi jusqu’à celui qui éclaire cette montagne qui est dressée pour recevoir, la première, les rayons du soleil, afin de les renvoyer à tes yeux… De nos yeux, on dit aussi qu’ils sont des lumières ; et pourtant si on n’allume pas de lampe la nuit ou si le soleil ne se lève pas durant le jour, nos yeux s’ouvrent en vain. Jean lui-même était ténèbres avant d’être illuminé ; il n’est devenu lumière que par cette illumination. S’il n’avait pas reçu les rayons de la Lumière, il serait demeuré ténèbres comme les autres…

Et la Lumière elle-même, où est-elle ? « la Lumière véritable qui illumine tout homme en venant dans ce monde » ? (Jn 1,9) S’il illumine tout homme, il illuminait aussi Jean, par qui il voulait être manifesté… Il venait pour des intelligences infirmes, pour des coeurs blessés, pour des âmes aux yeux malades…, des gens incapables de le voir directement. Il a couvert Jean de ses rayons. En proclamant qu’il avait été lui-même illuminé, Jean a fait connaître Celui qui illumine, Celui qui éclaire, Celui qui est la source de tout don.

Préparer la route au Seigneur, comme Jean Baptiste c’est bien d’être humble, de se reconnaître tout petit devant Ta majesté au point de n’être pas digne de défaire la courroie de Ta sandale. Je me reconnais indigne de Toi, je me reconnais pêcheur, petit, impie,plein de défauts, croyant à tort d’être par moi-même  capable. Donne moi Seigneur de me pas l’oublier car trop souvent dans l’ivresse de mon moi, il m’arrive trop souvent de ne plus y penser. Mon ego me fait croire que je suis l’acteur, l’intelligent !

Je ne suis rien sans Ta Lumière. Ma force, ma source de tout don c’est bien toi. Ta générosité infinie pour moi et mes frères est la pour nous éclairer et de nous enrober dans ton immense amour. Infiniment merci Seigneur pour la venue sur terre pour nous montrer la voie et pour nous sauver.

Managing in Turbulent Times

Managing in Turbulent

Times: Leading Your

Employees through

Uncertainty

A.J. Hyland, Carl Dill,and Jim Wanner,

I. Think Positive

Even the worst of times can present

certain opportunities.

II. Save Money and Morale

If you’re faced with cutting costs, look

at trimming things your employees and

customers won’t miss, but don’t rule out

more drastic solutions.

III. Must-Have Qualities for

a Leader’s Support Team

Staying cool, anticipating problems and

being willing to work harder in tough

times are essential characteristics for

your executive team.

IV. The Golden Rules of

Communication in Tough Times

Be honest, be clear and be quick to

keep employees updated.

V. Essential Take-Aways

If you have a clear plan to deal with

changes caused by upheaval in the

marketplace and you effectively communicate

that plan to the staff, you will

be in a good position to survive and

even thrive in turbulent times.

Ubiquity and Omnipresence. Paul Virilio

The Nexus of Time and Space

My reading today brings me to the works of Paul Virilio who studies Time and Space and the notion the society is making out of these elements in the future. Our paradigm of Time and Space are evolving at a great speed because of technology. To be everywhere, whilst being anywhere at any one time seems to be the essence of the day.

Internet and the speed of technology bring the world to us in any instant: one can be aware and lives the world events through the internet portable phone. Our mindset has to change, we are becoming more ‘zappers’ and yet more reachable. Our minds and attention could well be everywhere and yet we are reachable.

As much as the speed of technology frees us from lag time of receiving information, it imprisons us in its overflow of data. More data to select from, may mean sharper and more precision in our analysis. Do we discern better and take better decision? Having the skills of Zapping have to be reinforced by a sharper skills of focusing.

Living the Here and Now

Paul Virilio’s thesis:

The war model

Virilio developed what he calls the ‘war model’ of the modern city and of human society in general and is the inventor of the term ‘dromology’, meaning the logic of speed that is the foundation of technological society. His major works include War and Cinema, Speed and Politics and The Information Bomb in which he argues, among many other things, that military projects and technologies drive history. Like some other cultural theorists, he rejects labels – including ‘cultural theorist’ – yet he has been linked by others with post-structuralism and postmodernism. Some people describe Virilio’s work as being positioned in the realm of the ‘hypermodern’. This description seems most apt, as Virilio works very much with the concepts and artefacts of modernism. He has repeatedly affirmed his links with phenomenology, for example, and offers humanist critiques of modernist art movements such as Futurism. Throughout his books the political and theological themes of anarchism, pacifism and Catholicism reappear as central influences to his self-proclaimed ‘marginal’ approach to the question of technology. His work has been compared to that of McLuhan, Baudrillard, Deleuze & Guattari, Lyotard, Ellul, and others, although many of these connections are problematic. Virilio is also an urbanist. He still lives in Paris.

Virilio’s predictions about ‘logistics of perception’ – the use of images and information in war – (in War and Cinema, 1984) were so accurate that during the Gulf War he was invited to discuss his ideas with French military officers. While Baudrillard infamously argued that the Gulf War did not take place, Virilio argued that it was a ‘world war in miniature’.

The integral accident

Technology cannot exist without the potential for accidents. For example, the invention of the locomotive also contained the invention of derailment. Virilio sees the Accident as a rather negative growth of social positivism and scientific progress. The growth of technology, namely television, separates us directly from the events of real space and real time. We lose wisdom, lose sight of our immediate horizon and resort to the indirect horizon of our dissimulated environment. From this angle, the Accident can be mentally pictured as a sort of “fractal meteorite” whose impact is prepared in the propitious darkness, a landscape of events concealing future collisions. Even Aristotle claimed that “there is no science of the accident,” but Virilio disagrees, pointing to the growing credibility of simulators designed to escape the accident — an industry born from the unholy marriage of post-WW2 science and the military-industrial complex. A good example of Virilio’s integral accident is Hurricane Katrina and the disastrous events that followed, which brought the eyes of the world upon a single nexus of time and place. From his article on Katrina, “Ah ouai, ce méchant vent, vent qui siffle, siffle. Tout le monde regarde, c’est sur toutes les chaînes, c’est l’émission dont le monde parle. Et c’est tellement, tellement mouillé la bas.” Roughly translated, “Oh yeah, that nasty wind, wind that blows, blows. The whole world is watching, it’s on every station, it’s the program the world is talking about. And it’s so, so soggy, down there.”

Dromology

‘Dromos’ from the Greek word to race (Virilio 1977:47). Meaning: the ‘science (or logic) of speed’. Dromology is important when considering the structuring of society in relation to warfare and modern media. He notes that the speed at which something happens may change its essential nature, and that that which moves with speed quickly comes to dominate that which is slower. ‘Whoever controls the territory possesses it. Possession of territory is not primarily about laws and contracts, but first and foremost a matter of movement and circulation.’ Source

Logistics of perception

In contemporary warfare logistics does not just imply the movement of personnel, tanks, fuel and so on but also implies the movement of images both to and from the battlefield. Virilio talks a lot about the creation of CNN and the concept of the newshound. The newshound will capture images which will then be sent to CNN, which may then be broadcast to the public. This movement of images can start a conflict (Virilio uses the example of the events following the broadcasting of the Rodney King footage). The logistics of perception also relates to the televising of military maneuvers and the images of conflict that are watched not only by people at home but also by the military personnel involved in the conflict. The ‘field of battle’ also exists as a ‘field of perception’.

War of movement

For Virilio, the transition from feudalism to capitalism was driven not primarily by the politics of wealth and production techniques but by the mechanics of war. Virilio argues that the traditional feudal fortified city disappeared because of the increasing sophistication of weapons and possibilities for warfare. For Virilio, the concept of siege warfare became rather a war of movement. In Speed and Politics, he argues that ‘history progresses at the speed of its weapons systems’.

Le Passe, Le Present , et le Futur

A la conférence de Michel Maffesoli du vendredi 5 décembre j’avais une question sur la temporalité.

Maffesoli parle d une Saturation de la temporalité : plus de projet, de demain (no future). C’est ici et maintenant (carpe diem). Un élément primordial qui sera lourd de conséquences.

Il continue plus tard en disant que le présentéisme est comme source d’ une invention du futur.

Mes bien-aimés, il y a une chose que vous ne devez pas oublier : pour le Seigneur, un seul jour est comme mille ans, et mille ans sont comme un seul jour. Deuxième lettre de saint Pierre Apôtre 3,8.

Ne sommes-nous pas plus près de l’eternel ou Le passé, le présent et le futur seront unifiés ? Comte Sponville disait que seul le présent compte. Nous avons un regard du passé qu’au présent, de toute manière ce qui est passé est bien passé, et le futur est incertain. Il nous reste que le présent.

Les deux journees passees avec  le Prof. Michel Maffesoli continuent a habiter mon esprit. La densite et profondeur de ses propos sont envoutantes.

Reflexion Dominicale

Evangile de Jésus-Christ selon saint Marc 1,1-8.

Commencement de la Bonne Nouvelle de Jésus Christ, le Fils de Dieu.
Il était écrit dans le livre du prophète Isaïe : Voici que j’envoie mon messager devant toi, pour préparer la route.
A travers le désert, une voix crie :Préparez le chemin du Seigneur,aplanissez sa route.
Et Jean le Baptiste parut dans le désert. Il proclamait un baptême de conversion pour le pardon des péchés.
Toute la Judée, tout Jérusalem, venait à lui. Tous se faisaient baptiser par lui dans les eaux du Jourdain, en reconnaissant leurs péchés.
Jean était vêtu de poil de chameau, avec une ceinture de cuir autour des reins, et il se nourrissait de sauterelles et de miel sauvage.
Il proclamait : « Voici venir derrière moi celui qui est plus puissant que moi. Je ne suis pas digne de me courber à ses pieds pour défaire la courroie de ses sandales.
Moi, je vous ai baptisés dans l’eau ; lui vous baptisera dans l’Esprit Saint. »

================================================================

Préparer ‘la route au Seigneur’. La lecture de l’ Evangile ce matin, m’évoque la préparation que je dois faire pour accueillir le Seigneur. IL vient pour nous sanctifier pour partager son message d’amour. A Sa première venue il y a 2000 ans, malgré ses annonces à l’humanité, IL m’a pas été reçu…Il est née dans une étable, incognito… Nous savons qu’IL reviendra ou plutôt nous comparaîtrons devant Lui.

Est ce que cette fois, serai je préparé ? Jean Baptiste m’a donné la recette de la préparation : ma conversion pour le pardon des pêchés. Je me reconnais dans ma condition d’homme avec ma faiblesse en toute humilité. Je me dois de faire le vide de mon ego. Je me dois de me vider de mon moi pour être rempli de Toi, mon Seigneur, mon Sauveur.

A Ta première venue, par la voix de Matthieu ( M25) Tu m’a dit que Tu es toujours présent à travers mon prochain. A notre prochaine rencontre avec Toi, Tu me demanderas : j’avais faim, m’as tu donné à manger ; j’étais malade, m’as-tu visité ; J’étais dans la peine, m’as-tu consolé ?

Ayant été baptisé dans l’Esprit Saint, j’ai le courage de reconnaitre ma faiblesse et de t’implorer la force et le courage de Te servir par mon prochain.

Reflexion Dominicale

Evangile de Jésus-Christ selon saint Marc 13,33-37.

Prenez garde, veillez : car vous ne savez pas quand viendra le moment.
Il en est comme d’un homme parti en voyage : en quittant sa maison, il a donné tout pouvoir à ses serviteurs, fixé à chacun son travail, et recommandé au portier de veiller.
Veillez donc, car vous ne savez pas quand le maître de la maison reviendra, le soir ou à minuit, au chant du coq ou le matin.
Il peut arriver à l’improviste et vous trouver endormis.
Ce que je vous dis là, je le dis à tous : Veillez ! »

===============================================================

J’etais parti pour L’ile de la Réunion pour passé qu’une nuit. Eh bien, le sort, le hasard, ou Dieu en a décidé autrement. Six heures d’attente à l’aéroport Rolland Garros pour être informé que le vol a été annulé car à la tombé de la nuit les vols ne peuvent plus opérer à cause de la contamination possible des vers blancs. Les passagers ont été transférés sur un vol de la mi-journée du Dimanche. Etre prêt et être sur sa garde pour tout imprévu : oui c’est bien cela. Le retard d’un vol est peut-être un événement banal, mais la leçon : d’être prêt à tout moment est bien reçu.

Je ne peux que de me souvenir du motto des scouts que j’ai appris dès mon enfance : BE PREPARED.

Seigneur Dieu, oui j’ai la volonté de ‘Veillez’. Cependant je ne suis qu’un pauvre pêcheur faible et qui se bat. Donne moi d’être fort par Ta grâce, de pouvoir rester ‘ éveiller’ pour être présent et conscient quand Tu reviendras.

Reunion

Do you know why the name of ile Bourbon was renamed Ile de La Reunion?

Well I shall be in l’ile de la Reunion for today and tomorrow and  shall find out..hopefully.

Until then it would be possible that I shall not have access to my blog. Excuse me dear reader who reads me daily. This was heart warming to recieve yesterday a call from one of my dailyreaders to tell me that I miss a day in my posting.

This was written from the airport internet facility.

Energie renouvelable

Je note avec une grande joie l’annonce d’une intention louable et un objectif qui se dirige vers un développement durable. Cela a paru sur l’express du dimanche 23 Nov.

Exploiter l’énergie en abondance qu’est le soleil pour le convertir en Electricité. La technologie existe et elle est déjà exploitée dans des nombreux pays. Il se poserait le problème de rentabilité ? Peut-on produire au jour hui une unité d’électricité au même prix que produise la CEB par ses centrales de production ? Quel sera le prix de rachat que la CEB offrira qui inciteront les individus à investir dans un tel projet ? Doit on que voir une rentabilité pour la CEB dans le présent ? Et quid de notre émission en CO2 dans les centrales thermiques ? A-t-on la volonté politique de mettre en chantier l’exploitation des sources énergétiques propres et non polluantes ?

Nous devons donc encourager ce projet. Je suis pour un retour sur investissement sur les panneaux voltaïques égal au taux bancaire de l’épargne.

■ L’objectif de Chavansingh Dabeedin

Pour la première fois depuis sept ans, c’est un membre issu du personnel même du Central Electricity Board (CEB) qui a été nommé directeur général de cette organisation. Installé à ce poste alors que la question de l’énergie préoccupe le monde entier, c’est à juste titre que Chavansingh Dabeedin s’est fixé comme principal objectif l’exploitation de toutes les sources d’énergie renouvelable disponibles à Maurice. En tête de lice figurent les énergies éolienne, hydraulique, solaire et celle produite à partir de la bagasse. « Pourquoi pas inclure dans nos priorités, l’exploitation du créneau de l’énergie renouvelable produite par les individus et dont le surplus pourrait être vendu au CEB et basculé sur le réseau national ? »

Reflexion Dominicale

Evangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu 25,31-46.

« Quand le Fils de l’homme viendra dans sa gloire, et tous les anges avec lui, alors il siégera sur son trône de gloire.
Toutes les nations seront rassemblées devant lui ; il séparera les hommes les uns des autres, comme le berger sépare les brebis des chèvres :
il placera les brebis à sa droite, et les chèvres à sa gauche.
Alors le Roi dira à ceux qui seront à sa droite : ‘Venez, les bénis de mon Père, recevez en héritage le Royaume préparé pour vous depuis la création du monde.
Car j’avais faim, et vous m’avez donné à manger ; j’avais soif, et vous m’avez donné à boire ; j’étais un étranger, et vous m’avez accueilli ;
j’étais nu, et vous m’avez habillé ; j’étais malade, et vous m’avez visité ; j’étais en prison, et vous êtes venus jusqu’à moi !’
Alors les justes lui répondront : ‘Seigneur, quand est-ce que nous t’avons vu…? tu avais donc faim, et nous t’avons nourri ? tu avais soif, et nous t’avons donné à boire ?
tu étais un étranger, et nous t’avons accueilli ? tu étais nu, et nous t’avons habillé ?
tu étais malade ou en prison… Quand sommes-nous venus jusqu’à toi ?’
Et le Roi leur répondra : ‘Amen, je vous le dis : chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces petits qui sont mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait.’
Alors il dira à ceux qui seront à sa gauche : ‘Allez-vous-en loin de moi, maudits, dans le feu éternel préparé pour le démon et ses anges.
Car j’avais faim, et vous ne m’avez pas donné à manger ; j’avais soif, et vous ne m’avez pas donné à boire ;
j’étais un étranger, et vous ne m’avez pas accueilli ; j’étais nu, et vous ne m’avez pas habillé ; j’étais malade et en prison, et vous ne m’avez pas visité.’
Alors ils répondront, eux aussi : ‘Seigneur, quand est-ce que nous t’avons vu avoir faim et soif, être nu, étranger, malade ou en prison, sans nous mettre à ton service ?’
Il leur répondra : ‘Amen, je vous le dis : chaque fois que vous ne l’avez pas fait à l’un de ces petits, à moi non plus vous ne l’avez pas fait.’
Et ils s’en iront, ceux-ci au châtiment éternel, et les justes, à la vie éternelle. »

L’Evangile du jour nous dit clairement en quoi nous serons jugés devant le Dieu suprême. IL me nous demandera pas si nous étions chrétien ou combien de biens avons nous amasser en biens et ou encore quelles décoration ou prouesse sont nous reconnu pour ? Nous serons évalués sur l’amour que nous avons donné. Bien entendu l’amour à nos proches et aux étrangers. Puis encore cet amour qui a été partagé une façon inconditionnelle.

Donner à manger et à boire, faire l’aumône pour être reconnu par les pairs, est ce cela de l’amour qu’IL nous exige ? Vêtir un étranger ou visiter un malade ou un prisonnier sans en tirer bénéfice de notre action, soulager la misère et peines des démunis et malades – voila des actes généreux et digne d’un vrai fils de Dieu. La vie de Mother Theresa, sa passion pour les pauvres et démunis ne vient à l’esprit.

Donne nous Seigneur d’être un ‘mother Theresa :’ qui s’est détaché des besoins de possession, de ses besoins de confort, en bref détaché de son ‘moi’ et qui ne voit en chaque individu que Toi présent sur terre.