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Reflexion Dominicale

Gal. 5,16-25.
Je vous le dis : vivez sous la conduite de l’Esprit de Dieu ; alors vous
n’obéirez pas aux tendances égoïstes de la chair.
Car les tendances de la chair s’opposent à l’esprit, et les tendances de
l’esprit s’opposent à la chair. En effet, il y a là un affrontement qui
vous empêche de faire ce que vous voudriez.
Mais en vous laissant conduire par l’Esprit, vous n’êtes plus sujets de la Loi.


On sait bien à quelles actions mène la chair : débauche, impureté,
obscénité, idolâtrie, sorcellerie, haines, querelles, jalousie, colère, envie, divisions, sectarisme,
rivalités, beuveries, gloutonnerie et autres choses du même genre. Je vous
préviens, comme je l’ai déjà fait : ceux qui agissent de cette manière ne
recevront pas en héritage le royaume de Dieu.
Mais voici ce que produit l’Esprit : amour, joie, paix, patience, bonté, bienveillance, foi,
humilité et maîtrise de soi. Face à tout cela, il n’y a plus de loi qui tienne.
Ceux qui sont au Christ Jésus ont crucifié en eux la chair, avec ses passions et ses tendances égoïstes.
Puisque l’Esprit nous fait vivre, laissons-nous conduire par l’Esprit.

Jn 15,26-27.16,12-15.
Quand viendra le Défenseur, que je vous enverrai d’auprès du Père, lui,
l’Esprit de vérité qui procède du Père, il rendra témoignage en ma faveur.
Et vous aussi, vous rendrez témoignage, vous qui êtes avec moi depuis le
commencement.
J’aurais encore beaucoup de choses à vous dire, mais pour l’instant vous
n’avez pas la force de les porter.
Quand il viendra, lui, l’Esprit de vérité, il vous guidera vers la vérité
tout entière. En effet, ce qu’il dira ne viendra pas de lui-même : il
redira tout ce qu’il aura entendu ; et ce qui va venir, il vous le fera
connaître.
Il me glorifiera, car il reprendra ce qui vient de moi pour vous le faire
connaître.
Tout ce qui appartient au Père est à moi ; voilà pourquoi je vous ai dit :
Il reprend ce qui vient de moi pour vous le faire connaître.

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Je suis heureux de retourner à mon blog, après un mois d’absence, le jour de la fête de la Pentecôte, jour de l’infusion de l’esprit.

Comme promis, Jésus après son ascension, a envoyé l’esprit saint, le paraclet, pour nous faire vivre des dons requis pour nous accompagner vers notre ultime destination et vaincre le malin qui nous guette. Notre défenseur, l’esprit de Vérité, est avec nous maintenant et à jamais.

Dans notre lecture du jour St Paul aux galates nous parle ce que l’esprit  qui produit en nous : amour, joie, paix, patience, bonté, bienveillance, foi, humilité et maîtrise de soi. ‘Laissons nous conduire par l’esprit’ nous exhorte St. Paul. Il nous met en garde auparavant de nos tendances égoïstes de la chair et nous conjure de lutter contre ces natures qui nous éloigneront du tracé voulu de notre Dieu. Gare aux chemins qui nous mèneront à la perdition : débauche, impureté, obscénité, idolâtrie, sorcellerie, haines, querelles, jalousie, colère, envie, divisions, sectarisme, rivalités, beuveries, gloutonnerie et autres choses du même genre.

Je trouve ici un programme à suivre, sans doute pas facile à mettre en œuvre : refuser de vivre les éléments qui mènent à la perdition mais se laisser infuser des valeurs de l’esprit. Il nous suffit d’être conscient du programme et sans cesse demander au Seigneur omnipotent de nous garder dans sa voie.

Ainsi, nous bâtirons aussi bien immédiatement sur terre et éventuellement au ciel un monde ou règne amour, joie, paix, patience, bonté, bienveillance, foi, humilité et maîtrise de soi.

Cette fête de Pentecôte ne doit pas être seulement un anniversaire ou une commémoration de la descendre de l’esprit sur les apôtres à leur époque respectif, qu’il soit pour moi aujourd’hui le cadeau reçu de Dieu pour me raviver de ma foi.

Merci Seigneur pour cette infusion de l’esprit, que tu me donne en ce saint jour.

Reflexion Dominicale

Jn 12,20-33.
Parmi les Grecs qui étaient montés à Jérusalem pour adorer Dieu durant la
Pâque,
quelques-uns abordèrent Philippe, qui était de Bethsaïde en Galilée. Ils
lui firent cette demande : « Nous voudrions voir Jésus. »
Philippe va le dire à André ; et tous deux vont le dire à Jésus.
Alors Jésus leur déclare : « L’heure est venue pour le Fils de l’homme
d’être glorifié.
Amen, amen, je vous le dis : si le grain de blé tombé en terre ne meurt
pas, il reste seul ; mais s’il meurt, il donne beaucoup de fruit.
Celui qui aime sa vie la perd ; celui qui s’en détache en ce monde la garde
pour la vie éternelle.
Si quelqu’un veut me servir, qu’il me suive ; et là où je suis, là aussi
sera mon serviteur. Si quelqu’un me sert, mon Père l’honorera.
Maintenant je suis bouleversé. Que puis-je dire ? Dirai-je : Père,
délivre-moi de cette heure ? – Mais non ! C’est pour cela que je suis
parvenu à cette heure-ci !
Père, glorifie ton nom ! » Alors, du ciel vint une voix qui disait : « Je
l’ai glorifié et je le glorifierai encore. »
En l’entendant, la foule qui se tenait là disait que c’était un coup de
tonnerre ; d’autres disaient : « C’est un ange qui lui a parlé. »
Mais Jésus leur répondit : « Ce n’est pas pour moi que cette voix s’est
fait entendre, c’est pour vous.
Voici maintenant que ce monde est jugé ; voici maintenant que le prince de
ce monde va être jeté dehors ;
et moi, quand j’aurai été élevé de terre, j’attirerai à moi tous les
hommes. »
Il signifiait par là de quel genre de mort il allait mourir.

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Ce matin la lecture de ce passage de Saint Jean, me conduit à jésus qui est bouleversé.

Un verset avant Jésus me faisait la leçon qu’il faille perdre sa vie pour porter beaucoup de fruit, et qu’il faille perdre sa vie pour accéder à la vie éternelle.

Pourquoi était- il bouleversé ? Devant l’angoisse de la passion et les supplices qu’il voit venir Jesus  est angoissé. Il demande à son Père de le délivrer de cette heure et pourtant il se ressaisit immédiatement sachant qu’il est venu que pour cela. Devant sa mort, il est bouleversé : il prend sur lui le poids que la mort de toute l’humanité pour le faire traverser vers le royaume de son Père. Il  donne de sa vie pour le faire, il se sacrifie pour qu’à partir de ce jour la voie est ouverte.O Jesus merci!

Ou tient-il cette force pour faire ce pas ? Comme une obsession, son regard est tourné vers son Père qu’il ne cesse de rendre gloire. Que signifie rendre gloire à Dieu ? Père glorifie ton nom. Honorer et célébrer. Etre conscient de la présence de Dieu et être rempli de Lui.

Comment faire pour que je sois toujours en Sa presence? Simplement en Lui demandant. N’est il pas notre pourvoyeur de notre tout?

Sans toi je ne suis rien. A tout moment Seigneur donne moi de Te glorifier, et surtout dans mes moments d’angoisses fais que mon regard soit tourné vers Toi. Notre Père qui est aux cieux. Je garderai toujours Seigneur Ton nom.

Communications are not ‘Mere words’

I am lucky to have been exposed to on-line communications for over three decades. The airline industry as far as the early sixties communicated on line: first with telexes then later through a network of computer terminals. This form of communication is quite distinctive to the normal written letter and mail mode. Communicating through emails which is now the most common way requires different reflexes. Texting and SMS are invading our communications sphere. What are the rules to obey? Do you consider the usefulness of the message sent to your addressees?

This recent article, entitled ‘Mere Words’ from the web highlights some aspects we have to watch out in particular with the internet.

Mere Words:

How to improve your online communication

by Barbara Neal Varma

You’re trying to figure out why your wife’s brother just sent you a flaming e-mail-at work, no less-when a message pops up from your boss with only question marks in the subject line, (that can’t be good), your daughter texts you to ask for permission to stay overnight with her “BFF,” whatever that is, and you’ve got close to 200 e-mails all with red priority flags like ants on your screen. You rub your gritty, glare-strained eyes and wonder: When did simply communicating get to be so hard?


You’re not alone. With today’s popularity in e-mailing, blogging and texting, more than half of our conversations are written instead of verbal. While convenient, experts say confusion can easily occur when the usual visual cues such as facial expression are not present. “It’s easier to spot signals when meeting someone face-to-face,” says Dr. Will Reader of Sheffied Hallam University in his recent study on online social networks. “It’s harder to spot signals online.”

So how do we get our messages safely across the virtual divide? Follow these easy steps to make your electronic communication more clear and comprehensible.

At Work

Get to the Point – Ever receive an e-mail so long it made your Starbucks turn cold? Or do you stop reading after one paragraph? Studies show that the attention span of online readers is significantly shorter than those reading printed material. “In research on how people read Web sites, we found that 79 percent of our test users always scanned any new page they came across,” says Web page usability expert Dr. Jakob Nielsen. He recommends using half the word count or less than conventional writing when composing electronic messages.


Another good habit to practice: write in active, not passive voice; “Jill promoted Jack” instead of “Jack was promoted.” The latter begs the question, by whom? Busy business folks don’t have time for mysteries.


Begin your message with your main points: your question, your answer, your researched information then fill in the details behind instead of starting with a yawner of a preamble. Think of any follow-up questions your recipients may have and address them in your original message to avoid a rush of return e-mails.

Get it Right – Every social scientist or hiring official will tell you within the context of face-to-face communication, appearance means everything. Political correctness aside, people tend to form quick impressions based on others’ outward appearance, the golden rule for every dress-for-success seminar. Don’t let typos or sloppy grammar ruin your good image online. Remember, your e-mail has the potential to be shared with every other colleague and client in the company. Avoid leaving a legacy of cyber errors with your signature at the bottom. Don’t depend on Spell Check to catch every spelling mistake. Some misspellings make perfectly spelled words by themselves and, therefore, don’t generate a red squiggly line alert.

Keep it Professional – Hey, no one likes to be YELLED AT. Using all caps in your message means you are shouting, and if your recipient is the company vice president or an important client, he or she might not appreciate your uppity tone. Remember, your readers are not seeing you on their computer monitor, they are seeing your words; guard them and your reputation well. “My e-mail is a piece of professional communication that speaks to the person who wrote it,” says Human Resources Director Diana Clark during a recent career readiness seminar. “Don’t use slang,” she advises. “Don’t use capital letters. Don’t use inappropriate dialogue with a co-worker. Somebody else is going to see that, then it goes to the boss.”


And save the winsome daisy background and jumping graphics for your MySpace page. There’s no crying in baseball and there’s no room for emoticons (smiley faces and their winking cousins) in business e-mail. Using cartoons to punctuate your prose just looks, well, cartoonish.

At Home

Think Before You Send – “Susan” stared at the computer screen, not believing her eyes, but there it was: a flaming e-mail from her brother listing everything he felt she’d done wrong regarding their elderly mother’s care. His words were harsh; he said things she had no idea he was thinking, let alone willing to say. But that’s the point: he hadn’t said them at all. He’d e-mailed her instead.


Social psychologists liken these e-mail eruptions to the “road rage” phenomenon when otherwise calm folks suddenly become avenging drivers, exhibiting symptoms of outrage and anger not consistent with their everyday behavior. The key and catalyst in both road rage and e-rage is the perceived sense of privacy and power the car/computer conveys.


So what to do if you are on the other side of a hostile e-mail? First, like in any good emergency, stay calm. Your options are to respond in kind (tempting…), respond with calmer words to explain your side of things, or ignore the e-mail but pay attention to the sender and give them a call. You might discover there was more emotion to the message than sincerity and with a verbal conversation, you can better figure out the core problem. If the message is truly an attack on you, your family, or your golden retriever, simply delete it without reply and perhaps restrict your interaction. You’ve learned something about this individual and how they prefer to handle stress-by venting at you.

Be Versatile – Sure, you may yearn for the good old days when talking to someone meant they were actually in the same room, but with today’s variety of virtual communication, you might just as easily have a conversation with your friend in Timbuktu as you do with your next door neighbor. Instant messages, Web blogs, Facebook, MySpace; today’s technology has advanced our ability to stay in touch almost to the point of Star Trek’s famous “Beam me up, Scotty” communicators. Cell phones, especially, have become the new communicator to the current generation of teens and twenty-somethings, bringing forth a whole new cyber-lingo with enough acronyms and abbreviations to seem more code than conversation.


Take a computer course, learn how to use the latest e-mail programs and read that instruction manual for your cell phone that you’d tucked away thinking you already know how to use a phone, right? As you become more proficient at the many and varied ways to communicate today, you will not only expand your circle of friends and family ties, you’ll be opening up opportunities for connecting with others on a world-wide scale.

Practice Safe Text – On the one hand, e-mail lets us be ourselves. There’s no worry about spinach stuck in teeth or a lock of hair out of place. Men don’t even need to shave first. For those interested in meeting a potential dating prospect online, all this lack of posing and pretense makes e-mail conversations particularly personal: It’s just you and your chat partner with nothing between you but mere words.


But it’s that very bubble of easy intimacy that makes the Internet a virtual land of opportunity for imposters. Every year thousands of Internet users fall victim to identity theft, lulled like Cyrino’s Roxanne into believing that the message sender is who they say they are: a long lost friend, an enticing new acquaintance. A new-found love.


If you’re meeting new people online, practice the art of privacy until you are sure he or she (do we really know which?) is who they write they are. Don’t disclose your shoe size, your favorite American Idol candidate or your social security number to someone you don’t know well, and communicate via computer only in those contexts where you feel safe. Add a little restraint to your online chat and don’t fall for good-looking Subject lines suddenly appearing in your inbox. The person behind the prose might just well be a wolf in e-clothing.

La pensee Chinoise- le modele?

Mi chinois, métis, que je suis, ou banana que d’autres prétendent que je suis, j’ai le désire profond de sonder l’âme chinoise. Dans ce brouhaha des écrits des textes fondateurs de la chine depuis de millénaires, peut on en tirer une philosophie chinoise qui pourrait élucider ses agissements type chinois comme nous decryptons par exemples,des façons de faire des européens du basin méditerranéen.

La chine vaste et multi ethnique me semble avoir une culture culture  et  unefaçon de penser car la magnitutude du territoire et peuplades font la difference.

Hakka que je suis, forgé par ma tradition familiale, j’agis bien souvent dans mon inconscient dans un registre qui est ancré en moi par mon héritage culturel vécu. Mon souhait c’est bien là de déceler et si possible de comprendre les codes, concepts, logiques qui fait mon univers mentale.

Comme je n’ai comme langues que le français et l’anglais, le Kreole,et ma la langue maternelle Hakka, je suis conscient que mes acquisitions de connaissances et mes réflexions sont voiles par les filtres des langues utilisés et m’exclut des nuances qui ne sont exprimées ou implicitees dans les textes originaux. Cela me fait penser souvent a ODED EL DAD, illustre professeur qui en français nous traduit la version hébraïque du récit de Caen et Abel , donnant ainsi des valeurs tout autre que la lecture du texte en français.

Existe-t-il une philosophie chinoise ? Qu’entendons nous par philosophie à la mode, gréco-occidental, ou la pensée à la chinoise ?

Je me régale en lisant un texte qui met en exergue les idées exprimes dans les écrits des nombreux auteurs autour de la pensée chinoise. Anne Cheng, dans La pensée en chine; Francois Julien, dans Chemin faisant, connaitre la chine, relancer la philosophie ; Jean Luc Domenach dans le retour ambigu de la chine en Asie ;Joel Thoraval, sinologue connu dans de la philosophie en chine a la chine dans la philosophie ; Mou Zongsan, dans neo-confucianisme ;et tous une pléiade de penseurs chinois contemporains tel Liu Xiaofeng, Gan Yang, Liang Shuming et autres.

En résume je retiens  une citation:

Pour reprendre l’expression du sociologue et politologue Gil Delannoi  « toutes les lunettes méritent d’être essayés, lunettes de la ressemblance, les lunettes da la différence ». En d autres termes, certaines approches se révèlent communes aux chinois et aux européens, d’autres sont différentes. Des idées comme celles de sagesse, de liberté intérieure, d’autonomie morale ou bien public se trouvent dans la pensée chinoise comme dans celle de l’Europe ancienne.

Certaines oppositions originelles paraissent cependant absolues. En occident, par exemple, les sociétés dérivent plutôt d’un modèle pastoral dont elles ont hérité l’impératif du commandement, du volontarisme. La société chinoise, au contraire, procède d’un modèle agricole, végétal, fondé sur la patience, et la maturation. Dans le premier modèle, la parole et la voix sont décisives, tandis que, que dans le second, « l’écrit est antérieur à l’oral et possède, dans la composition combinatoire de signes eux-mêmes (la composition graphique des caractères) sa base normative ». Pour la philosophie grecque, l’opposition entre la contemplation et l’action est clairement affirmée, tandis qu’en Chine prévaut l’idée de processus continu, de fluidité, de mutation infinie. Il est vain de tirer une plante en espérant la faire pousser plus vite, dit un adage chinois.

Eh bien je suis ravi, cela m’a donne l’image d’un Hakka écologique, vegetal, vivant dans un univers qui mute en processus continue, très plastique capable de se transformer s perpétuité au guise de son environnement. Est-ce là le modèle de Kreole Morisien que nous cherchons ?

My WAY- Comme d’habitude

Today the 27th March is recognised as the 40th anniversary of the composing of the most famous song written by Jacques Revaux, lyrics by Gilles Thibault. Some critics rumoured that this song was presented to a couple of French singers of the like of Herve Villard who refused to take it on board. Claude Francois did.

Paul Anka rewrote the lyrics of English version of the tune soon after being offered this tune by his pal Claude Francois. It is believed that Paul Anka rewrote the song in less than 2 hours in Paris and turn it into ‘MY WAY ‘. Paul Anka took the song over the atlantic ocean which was sung by Frank Sinatra.

Paul Anka heard the original the French pop song, performed by Claude Francois ,while on holiday in the south of France. He flew to Paris to negotiate the rights to the song. In a 2007 interview, he said: “I thought it was a shitty record, but there was something in it.” He acquired publishing rights at no cost and, two years later, had a dinner in with Frank Sinatra and “a couple of guys” at which Sinatra said he was “quitting the business. I’m sick of it, I’m getting the hell out”. Sinatra’s singing rebounded thereon!

The explosion in popularity exploded when the King Elvis Presley retook it in his world satellite show in the 70’s.

Of the numerous honours attributed to this evergreen, the one you  will surely enjoy: “My Way” was found to be the song the most frequently played at  British funeral services.

Wikipedia trace a phenomenal number of published versions of this tune.

I cherish most my bathroom version of MY WAY because it is my way.

No wonder that WAY chain of supermarkets is so popular, because the chain is riding on the popularity of the name. That is the WAY!

Chinese Language

I just love it.

My chinese ancestry is boiling in me.

The chinese language and the creative hand of God

Who among all these [God’s creatures] does not know That the HAND OF THE LORD has done this, In whose HAND is the life of every living thing, And the breath of all mankind? Job 12:9,10, NKJV

Few realize that the early Chinese (c. 2200 B.C.) worshiped a Creator-God, the Heavenly Ruler. Fewer still have appreciated the “second Genesis” which their ingenious ancient character writing contains. 1 The 4,000-year-old Imperial Sacrifice ceremony observed annually by China’s reigning emperors attests to their original post-deluge patriarchal connections. 2 A word-of-mouth knowledge of God (even the Trinity), the Creation, Garden of Eden, and Fall of man, could have come to them from Adam via Lamech, Noah’s father; and Noah’s son, Shem, the probable Chinese progenitor.

Reflexion Dominicale

Les lectures de la messe.

Ephés. 2,4-10.
Mais Dieu est riche en miséricorde ; à cause du grand amour dont il nous a
aimés,
nous qui étions des morts par suite de nos fautes, il nous a fait revivre
avec le Christ : c’est bien par grâce que vous êtes sauvés.
Avec lui, il nous a ressuscités ; avec lui, il nous a fait régner aux
cieux, dans le Christ Jésus. Par sa bonté pour nous dans le Christ Jésus,
il voulait montrer, au long des âges futurs, la richesse infinie de sa
grâce.
C’est bien par la grâce que vous êtes sauvés, à cause de votre foi. Cela ne
vient pas de vous, c’est le don de Dieu.
Cela ne vient pas de vos actes, il n’y a pas à en tirer orgueil. C’est Dieu
qui nous a faits,
il nous a créés en Jésus Christ, pour que nos actes soient vraiment bons,
conformes à la voie que Dieu a tracée pour nous et que nous devons suivre.

Jn 3,14-21.
De même que le serpent de bronze fut élevé par Moïse dans le désert, ainsi
faut-il que le Fils de l’homme soit élevé,
afin que tout homme qui croit obtienne par lui la vie éternelle.
Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique : ainsi tout
homme qui croit en lui ne périra pas, mais il obtiendra la vie éternelle.
Car Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais
pour que, par lui, le monde soit sauvé.
Celui qui croit en lui échappe au Jugement, celui qui ne veut pas croire
est déjà jugé, parce qu’il n’a pas cru au nom du Fils unique de Dieu.
Et le Jugement, le voici : quand la lumière est venue dans le monde, les
hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs œuvres
étaient mauvaises.
En effet, tout homme qui fait le mal déteste la lumière : il ne vient pas à
la lumière, de peur que ses œuvres ne lui soient reprochées ;
mais celui qui agit selon la vérité vient à la lumière, afin que ses
œuvres soient reconnues comme des œuvres de Dieu. »

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L’Evangéliste Jean, le mystique des évangélistes, nous livre un texte d’un angle différent des autres. Dans le texte du jour, il ne nous raconte pas une histoire de Jésus, il se place en observateur et nous donne sa réflexion et sa conclusion. Jean nous livre L’amour infini de Dieu, l’élévation de son fils Jésus et notre possibilité d’accéder a la vie éternelle par son fils Jésus. La croix qui est symbole de supplice, avec Jésus devient maintenant signe de victoire sur la mort. Jésus, celui qui sauve, est venu nous libérer de cette mort ; il suffit de croire car Dieu est miséricordieux à l’ infini. Jean nous parle d’un Dieu de lumière qui ne se place pas en juge. Il sous-entend que si le monde est jugé, le monde est voué à l’échec. Croire en Jésus, fils de Dieu, lumière, dressé sur la croix, venu nous sauver, c’est choisir de ne pas faire le mal et de suivre la lumière.

Ta croix + Seigneur est signe de positivité. Par la passion et sacrifice sur terre, Tu as converti le symbole de souffrance en victoire sur notre souffrance. Tu rayonnes sur notre croix de souffrance de ta lumière.

Tu sais bien Seigneur si Tu me juges, j’échouerai sans aucun doute. Je te remercie pour ton message de miséricorde à l’infini. Encore, j’implore la grâce et le cadeau d’accroître ma foi en toi. Je reste positif et crois en Ta bonté et de Ton amour infini, et je désire ardemment de suivre Ta lumière.

Hindutva

Do you know the word Hindutva? The voice of Hindu is better known in Mauritius. It may be worth while reading the view from a Hindutva perspective.

As we live in one of the countries which are inhabited by a majority of Hindus outside India, we Mauritians should be aware of the terms and more importantly keep an eye to what is happening in India. Thinkers and brains triggering the consciences of Hindus inside India or elsewhere as well as Muslims in the world should be read to understand where they are coming from ; how they feel and what they intend to do. On both sides of the fence there are radicals, violent fundamentalists and peace seeking moderates.

I consider myself lucky to have had the opportunity as a non Hindu to have been exposed to much Indian culture and to have traveled often to the home origin country of the majority Hindu community. I understand some basics fundamentals of the Muslims religion for having worked very closely with a number of Muslim organisations during the time when I was involved with the organization of the Haj and Umra pilgrimages. I had made a couple of trips to Saudi, namely to Jeddah, Ryiad and Daharan.

The tension that exists in the  sub continent with in India itself with a large population of Muslims in the midst of a majority of Hindus is often echoed in our country. Whilst India has its own issues to deal with its bulging Muslims populations, particularly in some of its states where the proportion of Muslims to Hindus do not reflect the national average, let not the animosities  spilled over to us.

I only wish that in our nation country is able to sort our own issues without being influenced by imported events. Needless to mention the events of Mumbai and the recent unrest in Pakistan have negative effects on the peaceful cohabitations of the two communities. I believe that there have been some confusion in Phoenix recently on the celebration of Yaum un Nabi.

May the moderates on both sides bring a peaceful settlement to keep the belligerent moods of the radicals at bay? Let religions not divide us or break the harmony of our peaceful living.

Reflexion Dominicale

Evangile de Jésus-Christ selon saint Jean 2,13-25.
Comme la Pâque des Juifs approchait, Jésus monta à Jérusalem.
Il trouva installés dans le Temple les marchands de boeufs, de brebis et de colombes, et les changeurs.
Il fit un fouet avec des cordes, et les chassa tous du Temple ainsi que leurs brebis et leurs boeufs ; il jeta par terre la monnaie des changeurs, renversa leurs comptoirs,
et dit aux marchands de colombes : « Enlevez cela d’ici. Ne faites pas de la maison de mon Père une maison de trafic. »
Ses disciples se rappelèrent cette parole de l’Écriture : L’amour de ta maison fera mon tourment.
Les Juifs l’interpellèrent : « Quel signe peux-tu nous donner pour justifier ce que tu fais là ? »
Jésus leur répondit : « Détruisez ce Temple, et en trois jours je le relèverai. »
Les Juifs lui répliquèrent : « Il a fallu quarante-six ans pour bâtir ce Temple, et toi, en trois jours tu le relèverais ! »
Mais le Temple dont il parlait, c’était son corps.
Aussi, quand il ressuscita d’entre les morts, ses disciples se rappelèrent qu’il avait dit cela ; ils crurent aux prophéties de l’Écriture et à la parole que Jésus avait dite.
Pendant qu’il était à Jérusalem pour la fête de la Pâque, beaucoup crurent en lui, à la vue des signes qu’il accomplissait.
Mais Jésus n’avait pas confiance en eux, parce qu’il les connaissait tous
et n’avait besoin d’aucun témoignage sur l’homme : il connaissait par lui-même ce qu’il y a dans l’homme.

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Un homme pur et juste, un homme humble de cÅ“ur qui nous invite à aimer même nos ennemis, peut-il se mettre en colère ? Eh bien dans le texte que nous avons entendu Jésus lui-même se met en colère et c’est avec une certaine violence qu’il expulse les marchands en dehors du Temple. Je vous invite aujourd’hui à vous poser cette question : pour quelle raison fait-il cela ?

Imaginez une mère qui demande à ses enfants de nettoyer et ranger la maison, car il y aura une fête le soir. Elle va faire les courses et quand elle revient elle trouve les enfants qui jouent partout, et la maison dans un état pire encore qu’auparavant. Que va-t-elle faire ? Bien sûr, elle va se mettre en colère et gronder ses enfants. Ce n’est pas parce qu’elle ne les aime plus, mais c’est parce que l’heure de la fête approche et qu’ils ne le comprennent pas. Jésus fait comme elle, car la fête de la Pâque, la grande fête est proche, et les marchands se comportent comme des enfants en faisant de la maison de son Père une maison de trafic. Mais de quelle maison s’agit-il ?

Quand nous entendons le mot « maison », la première chose qui nous vient à l’esprit, c’est l’image d’une demeure dans laquelle il y a des chambres, un salon, une cuisine, etc. Mais la maison du Dieu invisible, qu’est-ce que cela peut bien être ? Le Dieu qui habite le Ciel a-t-il vraiment besoin d’une maison ?

Comme chrétiens, nous disons que l’Église est la maison de Seigneur. Mais cette maison-là n’est pas une maison de pierre, comme le Temple de Jérusalem, mais une demeure de chair. Dieu ne demeure pas entre des murs mais au plus profond de l’homme, de chacun de nous. La colère de Jésus visait à nous faire comprendre que le lieu où nous prions Dieu n’est pas un lieu de commerce et qu’il n’y a aucune raison qu’il le devienne. Mais plus encore, Jésus voulait nous faire comprendre que Dieu ne réside pas d’abord dans un bâtiment. Il voulait nous dire que Dieu réside dans un temple complètement différent, un temple de chair, et lorsqu’il parle du Temple, il parle de son propre corps, le nouveau Temple. Son corps est non seulement le nouveau Temple, mais il va devenir lui-même également une offrande qui viendra remplacer tous les sacrifices du Temple. « Détruisez ce temple, et en trois jours je le relèverai », dit Jésus.

Après la résurrection du Seigneur, les disciples comprendront que c’était de son corps qu’il parlait. Mais ils comprendront également que chaque croyant est pour le Seigneur un nouveau Temple car nous sommes de la même chair. Saint Paul dans son épitre aux Corinthiens ne dit-il pas : « Ne savez-vous pas que vous êtes un temple de Dieu, et que l’Esprit de Dieu habite en vous ? » Sommes-nous assez conscients de cette grâce qui nous habite ? Est-ce que nos visages rayonnent de cette présence de Dieu en nous ?

Méditation proposée par les frères Dominicains du couvent de Lille..

Edgar Morin

Je suis tombé sur une vidéo d’Edgar Morin qui nous parle de la fête de l’internet. Voici un angle de l’internet que j’en profite- la gratuité et  ré-génération de notre vie qu’il qualifie de don. La communication devient communion.

Edgar Morin nous livre son regard sur le don, le partage, la générosité, cet l’élan de soi vers autrui. Un appel aux biens communs ciment de cette fête de l’internet et de notre humanité. Un chemin fragile mais essentiel.