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April 7th, 2007 — Reflexion
You will recall that I wrote in my blog for Valentine day the love story of Valentine and Chocolate namely: the apparent psychoactive ingredient contained in chocolate. This time Easter is again bounty time for the chocolate industry with the Easter eggs made of chocolate of course.
I am of opinion that the chocolate industry has been clever in finding occasion to sell their product by associating every rejoicing moment with chocolate. Easter is indeed rejoicing time for the Christians who during the 40 days of lent have kept a low level of pleasure and lived a period of privation. Hats off to the marketers of Chocolates!In my childhood, we were given for Easter eggs shells stuffed with custard which my parents delicately prepared to celebrate the occasion.
Here is an extract of a blog which questions the relationship between Chocolate and Easter!
Quote
I’m not particularly religious, at least in the Judeo-Christian traditions, but I can easily appreciate the holidays that affect the American Culture. This weekend, a fairly big one occurs.
Easter.
One thing that has always made me wonder about Easter is how the heck did chocolate come to represent the resurrection of Christ. After a bit of reading, I have found the answer.
Easter Chocolate has nothing to do with the resurrection. Rather, it can be traced to the pagan celebration of all things spring related, with the vernal equinox and such. Hares and eggs have long represented fertility, which is a fairly big deal when it comes to spring. Those wacky Germans, always looking for an excuse to add chocolate to anything celebration, probably were the first to make chocolate eggs and hares. My own theory (not based on anything other than an anecdotal familiarity with religion) contends that chocolate was often seen as a luxury, and after the several weeks of fasting and giving up items of pleasure for lent, chocolate was one of the first items re-introduced to the decadent Catholics and Lutherans.
Later the tradition immigrated to here in the United States along with the Germans, where the custom took hold in the culture after the Civil War.
Baskets of food for Easter dinner used to be taken to church to be blessed. Over time, this became instead baskets of chocolates for children left behind by the Easter Bunny.
So if you’ve ever wondered what’s up with Jesus and Chocolate, now you have a clearer understanding. We eat chocolate bunnies due to a melding of Pagan and Catholic traditions. As to why the head is the first thing we eat off of a chocolate bunny, it’s because we’re sadistic bastards.
Unquote
Happy Easter!
March 18th, 2007 — Messe, Reflexion
Lc 15,1-3.11-32.
Les publicains et les pécheurs venaient tous à Jésus pour l’écouter.
Les pharisiens et les scribes récriminaient contre lui : « Cet homme fait
bon accueil aux pécheurs, et il mange avec eux ! »
Alors Jésus leur dit cette parabole :
Jésus dit encore : « Un homme avait deux fils.
Le plus jeune dit à son père : ‘Père, donne-moi la part d’héritage qui me
revient.’ Et le père fit le partage de ses biens.
Peu de jours après, le plus jeune rassembla tout ce qu’il avait, et partit
pour un pays lointain où il gaspilla sa fortune en menant une vie de
désordre.
Quand il eut tout dépensé, une grande famine survint dans cette région, et
il commença à se trouver dans la misère.
Il alla s’embaucher chez un homme du pays qui l’envoya dans ses champs
garder les porcs.
Il aurait bien voulu se remplir le ventre avec les gousses que mangeaient
les porcs, mais personne ne lui donnait rien.
Alors il réfléchit : ‘Tant d’ouvriers chez mon père ont du pain en
abondance, et moi, ici, je meurs de faim !
Je vais retourner chez mon père, et je lui dirai : Père, j’ai péché contre
le ciel et contre toi.
Je ne mérite plus d’être appelé ton fils. Prends-moi comme l’un de tes
ouvriers.’
Il partit donc pour aller chez son père. Comme il était encore loin, son
père l’aperçut et fut saisi de pitié ; il courut se jeter à son cou et le
couvrit de baisers.
Le fils lui dit : ‘Père, j’ai péché contre le ciel et contre toi. Je ne
mérite plus d’être appelé ton fils…’
Mais le père dit à ses domestiques : ‘Vite, apportez le plus beau vêtement
pour l’habiller. Mettez-lui une bague au doigt et des sandales aux pieds.
Allez chercher le veau gras, tuez-le ; mangeons et festoyons.
Car mon fils que voilà était mort, et il est revenu à la vie ; il était
perdu, et il est retrouvé.’ Et ils commencèrent la fête.
Le fils aîné était aux champs. A son retour, quand il fut près de la
maison, il entendit la musique et les danses.
Appelant un des domestiques, il demanda ce qui se passait.
Celui-ci répondit : ‘C’est ton frère qui est de retour. Et ton père a tué
le veau gras, parce qu’il a vu revenir son fils en bonne santé.’
Alors le fils aîné se mit en colère, et il refusait d’entrer. Son père, qui
était sorti, le suppliait.
Mais il répliqua : ‘Il y a tant d’années que je suis à ton service sans
avoir jamais désobéi à tes ordres, et jamais tu ne m’as donné un chevreau
pour festoyer avec mes amis.
Mais, quand ton fils que voilà est arrivé après avoir dépensé ton bien avec
des filles, tu as fait tuer pour lui le veau gras !’
Le père répondit : ‘Toi, mon enfant, tu es toujours avec moi, et tout ce
qui est à moi est à toi.
Il fallait bien festoyer et se réjouir ; car ton frère que voilà était
mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, et il est retrouvé ! »
Ce Dimanche la liturgie de l’Eglise nous propose l’évangile du « fils prodigue » que j’ai entendu maintes fois sans pour autant me lasser car ce texte si riche me parle à chaque fois d’une façon différente. Des messages jaillisent selon ma situation et mon état d’esprit du moment.
Aujourd’hui j’étais touché par la magnanimité du Père. Un cœur si gros à pardonner au delà de la demande et au delà de l’espérance du fils cadet dès qu’il a pris le chemin de contrition. La même magnanimité au fils aîné qui lui fait des reproches en répondant : Toi mon enfant, tu es toujours avec moi, et tout ce qui est a moi est à toi. Le Père nous pardonne avant même que nous exprimons nos regrets. C’est cela l’amour divin.
Je vous livre également la réflexion de St Augustin sur le texte qui est tout à fait d’actualité, malgré qu’il fût écrit en l’an 400 !
« Comme il était encore loin, son père l’aperçut »
« De loin tu as compris mes pensées, tu as découvert mon sentier, tu as prévu tous mes chemins » (Ps 138,2-3). Pendant que je suis encore voyageur, avant mon arrivée dans la patrie, tu as compris ma pensée. Songez au fils cadet, parti au loin… L’aîné n’était pas parti au loin, il travaillait aux champs et il symbolisait les saints qui, sous la Loi, observaient les pratiques et les préceptes de la Loi.
Mais le genre humain, qui s’était égaré dans le culte des idoles,
était « parti au loin ». Rien, en effet, n’est aussi loin de celui qui t’a
créé que cette image modelée par toi-même, pour toi. Le fils cadet partit donc dans une région lointaine, emportant avec lui sa part d’héritage et, comme nous l’apprend l’Evangile, il la gaspilla… Après tant de malheurs et d’accablement, d’épreuves et de dénuement, il se rappela son père et voulut revenir vers lui. Il se dit : « Je me lèverai, et j’irai vers mon père… » Mais celui que j’avais abandonné, n’est-il pas partout ? C’est pourquoi dans l’Evangile, le Seigneur nous dit que son père « vint au-devant de lui ». C’est vrai, parce qu’il avait « compris de loin ses pensées. Tu as prévu tous mes chemins ». Lesquels ? sinon les mauvais chemins qu’il avait suivis pour abandonner son père, comme s’il pouvait se cacher à ses regards qui le réclament, ou comme si la misère écrasante qui le réduisait à garder les porcs n’était pas le châtiment que le père lui infligeait dans son éloignement en vue de le recevoir à son retour ?…
Dieu sévit contre nos passions, où que nous allions, si loin que nous puissions nous éloigner. Donc, comme un fuyard qu’on arrête, le fils dit : « Tu as découvert mon sentier, et tu as prévu tous mes chemins ». Mon chemin, si long soit-il, n’a pas pu m’éloigner de ton regard. J’avais beaucoup marché, mais tu étais là où je suis arrivé. Avant même que j’y sois entré, avant même que j’y aie marché, tu l’as vu d’avance. Et tu as permis que je suive mes chemins dans la peine, pour que, si je ne voulais plus peiner, je revienne dans tes chemins… Je confesse ma faute devant toi:
j’ai suivi mon propre sentier, je me suis éloigné de toi ; je t’ai quitté,
toi auprès de qui j’étais bien; et pour mon bien, il a été mauvais pour moi d’avoir été sans toi. Car, si je m’étais trouvé bien sans toi, je n’aurais peut-être pas voulu revenir à toi.
March 14th, 2007 — Mauritius, Reflexion
Habitant de l’ile Maurice ayant vécu toute ma vie dans le créole, je ne peux pas rester sourd à l’appel que me fait Kréofolies 2007:la célébration du patrimoine créole.
Etant un créophone depuis ma naissance, et utilisant prioritairement le créole comme langage de communication vocale, nous mauriciens, avons le devoir de propager la langue et protéger notre culture. Je salue et félicite les organisateurs des 2 différentes Kréofolies qui rêvent une pan- créole et aurais souhaité une plus grande participation d’autres créophiles.
« Mauritius Bloggers » ayant pour objectif de fédérer l’ensemble des bloggers mauriciens devrait ainsi mentionner et promouvoir les travaux de Kréofolies. Ainsi donc, chers bloggers, maintenant que vous êtes avertis de l’existence de ce blog, je vous demande d’émettre des commentaires sur le blog de Kréofolies.
Pour la petite histoire: Ainsi tu es Kreophone! et bien moi Harris je suis Grammophone…hic hic
March 11th, 2007 — Entrepreneurship, Messe, Reflexion
Durant la semaine la lecture qui m’a le plus interpellé : c’est bien la lecture de l’évangile du mercredi et la réflexion de François Varrillon sur la vie politique et l’exercice de l’autorité. Je vous recommande, chers lecteurs intéressés sur le sujet, de lire le blog de Servant leadership qui m’éclaire beaucoup sur le leadership et l’autorité.
Mt 20,17-28.
Au moment de monter à Jérusalem, Jésus prit à part les Douze et, pendant la
route, il leur dit :
« Voici que nous montons à Jérusalem. Le Fils de l’homme sera livré aux
chefs des prêtres et aux scribes, ils le condamneront à mort
et le livreront aux païens pour qu’ils se moquent de lui, le flagellent et
le crucifient, et, le troisième jour, il ressuscitera. »
Alors la mère de Jacques et de Jean, fils de Zébédée, s’approcha de Jésus
avec ses fils et se prosterna pour lui faire une demande.
Jésus lui dit : « Que veux-tu ? » Elle répondit : « Voilà mes deux fils :
ordonne qu’ils siègent, l’un à ta droite et l’autre à ta gauche, dans ton
Royaume. »
Jésus répondit : « Vous ne savez pas ce que vous demandez. Pouvez-vous
boire à la coupe que je vais boire ? » Ils lui dirent : « Nous le pouvons.
»
Il leur dit : « Ma coupe, vous y boirez ; quant à siéger à ma droite et Ã
ma gauche, il ne m’appartient pas de l’accorder ; il y a ceux pour qui ces
places sont préparées par mon Père. »
Les dix autres avaient entendu, et s’indignèrent contre les deux frères.
Jésus les appela et leur dit : « Vous le savez : les chefs des nations
païennes commandent en maîtres, et les grands font sentir leur pouvoir.
Parmi vous, il ne doit pas en être ainsi : celui qui veut devenir grand
sera votre serviteur ;
et celui qui veut être le premier sera votre esclave.
Ainsi, le Fils de l’homme n’est pas venu pour être servi, mais pour servir
et donner sa vie en rançon pour la multitude. »
« Il est rare que Jésus parle de politique. Ici, il en parle, très brièvement mais avec une remarquable netteté. Il remarque que les princes, les grands, les puissants, les notables en tout domaine, n’exercent jamais leur fonction d’autorité sans exercer du même coup un pouvoir de domination. Jésus ne juge pas, il constate, il dit : « C’est ainsi. » Mais, pour vous, ce n’est pas ainsi. Le verbe est à l’indicatif présent. Il n’est pas au futur, ce n’est donc pas un souhait pour demain. C’est l’exclusion catégorique, pour la communauté chrétienne et dès aujourd’hui, du même modèle politique. Il est exclu que l’autorité, telle qu’elle s’exerce dans la vie politique, soit le modèle de l’autorité, telle que’elle doit s’exercer dans lÉglise. Il est constitutif de l’Eglise que chacun y soit le serviteur de tous. Il y aura, bien sûr, dans l’Eglise, une grande diversité de services. Sait Paul les énumère : les Apôtres sont serviteurs, les prophètes sont serviteurs, les docteurs sont serviteurs, et ceux qui ont une fonction de gouvernement sont, eux aussi, eux surtout, au service de leurs frères. Mais tous, quelle que soit leur fonction, sont fondamentalement égaux. Que, par la force des choses, les uns soient plus en vue que les autres, cela ne fait pas de difficulté, mais cela ne met pas en question l’égalité devant l’unique Seigneur. Ce que Dieu donne à tous les hommes, ce sont des tâches à accomplir, et toute tâche humaine est une tâche de service. La règle est absolue et ne saurait souffrir la moindre exception. » François Varillon
March 8th, 2007 — Reflexion
I personally view the contribution of women to the progress of mankind needs to be high- lighted, praised and encouraged. It is natural to me that women are co-workers together with their “male†companions on equal footing to toil for the progress and development of the common good of humanity. Unfortunately, the culture and history seemed to have treated the female gender as the second fiddle to the master masculine. Playing the role of the bearer of the future, that is the children of the future, is no second role to me.
As much as nature has provided that procreation is only possible at the meeting of male and female essence, we have no reason to judge that one gender is superior to the other. Whilst it may well be true that in the prehistoric time of the “homosapiensâ€, men were endowed with large muscles to hunt and gather food for the family whilst the female partner was equipped with the qualities required to look after the children. Does this physical force yield supremacy to the male gender? I doubt it
Looking after the family and bearing children during a lengthy pregnancy, and the post pregnancy time of breastfeeding period may temporarily restrict the woman’s freedom of movements. She is, as a matter of fact during her confinement, very nobly assuring humanity of its future. There again, does the apparent mobility enjoyed by the man during that time, make the male superior?
By social convention, in a large majority of traditions through the ages, men were conferred the title “head of the householdâ€, synonymous of the authority.Is being the head of the family a privilege, or an obligation or a responsibility?
That being the case, it has become somewhat more difficult to establish back the equal footing perspective. Although in some traditions, matriarchal societies have emerged with varying degrees of authority or supremacy.
In India, for centuries, some societies are totally matriarchal. . You must have read of some tribes of the Amazon region totally governed by women.
Now that we have long passed the need of physical strength superiority, let us make restitution of the equality of the genders.
To change the much anchored traditions of the supremacy of the male gender will definitely take time as the structures established through the ages have been constructed with the concept that man is superior by right.
I am all for the celebrations of similar “International Women’s dayâ€, to establish back the contribution of each gender and would even venture to apply positive discrimination for the female gender to help fastening the process in some instances.
March 6th, 2007 — Entrepreneurship, Reflexion
I know that a number of you, including me, see the dominance of Microsoft over the world business with a bad eye; unfair and heavy handed. To a large extent, I abhor the idea that the winner takes all and leaves the losers will absolutely nothing. Microsoft continues to cream the market using its dominant position in spite of drastic legislation to balance the effect of its “unfair†control over the world’ scene. Last week again, we saw on the news that the EC imposed yet another heavy fine on Microsoft which answered back by filing some other legal proceedings.
Every cloud has a silvery lining. The Microsoft situation to a large degree accelerated the development of Linux which itself gave the invention of a new collaborative way of operating with the different “wikisâ€.
Another of the silver lining in the case of Bill Gates over rich situation would be: had it not been the world record of wealth accumulated by Bill would we have seen the vast amount of money deployed on eradicating diseases in very poor countries? The formation of a new type of Global alliance to fight the world’s calamity has now been created. A new formula respecting all parties’ dignity binds together governments from the rich countries, NGO s, the private funds, and the world’s largest drug manufacturers, the low cost drug manufacturers in the third world countries and the poor countries to produce at very low cost vaccines to free the world from nasty diseases. In a way, we have found the solution to the dilemma of payment of hefty royalties due to the drug companies and the disposal and use of cures for the less fortunate of the world. GAVI has paved the way.
Q: What is Gavi?
The Global Alliance was set up in 1999 with a donation of $750m from the Bill and Melinda Gates Foundation.
It is a non-profit making body with links to United Nation’s Children’s Fund (Unicef), and the World Health Organization (WHO), as well as governments of developing and industrialised countries, vaccine manufacturers, research groups and other organisations providing health aid to countries.
It says its mission is to “focus on those areas where no one partner can work effectively alone and to add value to what partners are already doing”.
In addition to Norway, other countries including Canada, Denmark, France, Ireland, the Netherlands, Sweden, the UK and the US, as well as private donors have given funding to Gavi.
The pharmaceutical industry has been very involved since the beginning of Gavi. They have helped to improve the accuracy of demand forecasts for vaccines, and provide credible evidence of a market for vaccines in low-income countries.
A lack of this kind of evidence had previously meant the industry had to some degree turned away from these lower-priced traditional vaccines to more expensive newer ones targeted mainly at developed countries.
Q: Why was it set up?
In 2002, around 10.5 million children aged five or under died. Of these, around 1.4 million died from vaccine-preventable diseases.
Data for 2003 showed 27 million children did not receive any vaccinations in their first year of life.
Q: What does it do?
Gavi created the Vaccine Fund to provide funding to countries in the developing world to fund the purchase of vaccines and to provide the infrastructure to distribute them.
It has given grants to 70 of the world’s poorest countries – those with a Gross National Income (GNI) of less than $1,000 (£532) a year.
By December 2004, it had raised around $1.3m and distributed over $530m.
Q: What has this achieved?
Gavi claims to have ensured an additional four million children in developing countries received routine childhood immunisations, such as diphtheria, tetanus and pertussis (whooping cough) that they would otherwise not have had access to.
In addition, it says 42 million were immunised against hepatitis B, five million against Hib and over three million against yellow fever.
The WHO estimates this could have prevented 670,000 premature deaths in children born between 2001 and 2003.
On average, it costs $ 20 (including delivery costs) to fully immunise a child against diphtheria, whooping cough, tetanus, polio, measles and tuberculosis.
Q: What do other health bodies think of Gavi?
When it was launched in 2000, the then Director-General of the WHO, Dr Gro-Harlem Brundtland, said: “Gavi is a true partnership between public and private sectors.
“It is one based on enlightened self-interest, but it is also one that recognises the moral responsibility we all have for a world where all children receive a basic chance of survival and health.”
A report from Save the Children in 2002 raised concerns of a conflict of interest for representatives of the pharmaceutical industry involved in Gavi, because their companies could be making products which Gavi would distribute.
But the WHO and International Federation of Pharmaceutical Manufacturer’s Association said an initiative such as Gavi needed representatives of the industry among its leadership.
March 4th, 2007 — happiness, Mauritius, Reflexion
This year 2007,today we celebrate at the same time the Chinese Lantern festival and the Indian Holi Festival.In Beau Bassin,this afternoon, I could continuously hear the drumming of the Chinese Lion dances and the firing of the crackers.
Whilst the meanings and traditions of these festivities abound on the web, I would like to highlight what aroused me on the Holi festivities:
Social Significance
Holi helps to bring the society together and strengthen the secular fabric of our country. For, the festival is celebrated by non-Hindus also as everybody like to be a part of such a colourful and joyous festival.
Also, the tradition of the Holi is that even the enemies turn friends on Holi and forget any feeling of hardship that may be present. Besides, on this day people do not differentiate between the rich and poor and everybody celebrate the festival together with a spirit of bonhomie and brotherhood.
In the evening people visit friends and relatives and exchange gifts, sweets and greetings. This helps in revitalizing relationships and strengthening emotional bonds between people.
Biological Significance
It is interesting to note that the festival of Holi is significant for our lives and body in many other ways than providing joy and fun.
We also need to thank our forefathers who started the trend of celebrating Holi at such a scientifically accurate time. And, also for incorporating so much fun in the festival.
As Holi comes at a time of the year when people have a tendency to feel sleepy and lazy. This is natural for the body to experiences some tardiness due to the change from the cold to the heat in the atmosphere. To counteract this tardiness of the body, people sing loudly or even speak loudly. Their movements are brisk and their music is loud. All of this helps to rejuvenate the system of the human body.
Besides, the colours when sprayed on the body have a great impact on it. Biologists believe the liquid dye or Abeer penetrates the body and enters into the pores. It has the effect of strengthening the ions in the body and adds health and beauty to it.
There is yet another scientific reason for celebrating the Holi, this however pertains to the tradition of Holika Dahan. The mutation period of winter and spring, induces the growth of bacteria in the atmosphere as well as in the body. When Holika is burnt, temperature rises to about 145 degrees Fahrenhiet. Following the tradition when people perform Parikrima (circumambulation or going around) around the fire, the heat from the fire kills the bacteria in the body thus, cleansing it.
The way Holi is celebrated in south, the festival also promotes good health. For, the day after the burning of Holika people put ash (Vibhuti) on their forehead and they would mix Chandan (sandalpaste) with the young leaves and flowers of the Mango tree and consume it to promote good health.
Some also believe that play with colours help to promote good health as colours are said to have great impact on our body and our health. Western-Physicians and doctors believe that for a healthy body, colours too have an important place besides the other vital elements. Deficiency of a particular colour in our body causes ailment, which can be cured only after supplementing the body with that particular colour.
People also clean-up their houses on Holi which helps in clearing up the dust and mess in the house and get rid of mosquitoes and others pests. A clean house generally makes the residents feel good and generate positive energies.
I have the feeling that our dear country needs to live more of the spirit of the Holi Festivities…..more so within the goverment majority.
March 4th, 2007 — Messe, Reflexion
Lc 9,28-36.
Et voici qu’environ huit jours après avoir prononcé ces paroles, Jésus prit
avec lui Pierre, Jean et Jacques, et il alla sur la montagne pour prier.
Pendant qu’il priait, son visage apparut tout autre, ses vêtements
devinrent d’une blancheur éclatante.
Et deux hommes s’entretenaient avec lui : c’étaient Moïse et Élie,
apparus dans la gloire. Ils parlaient de son départ qui allait se réaliser
à Jérusalem.
Pierre et ses compagnons étaient accablés de sommeil ; mais, se réveillant,
ils virent la gloire de Jésus, et les deux hommes à ses côtés.
Ces derniers s’en allaient, quand Pierre dit à Jésus : « Maître, il est
heureux que nous soyons ici ! Dressons donc trois tentes : une pour toi,
une pour Moïse, et une pour Élie. » Il ne savait pas ce qu’il disait.
Pierre n’avait pas fini de parler, qu’une nuée survint et les couvrit de
son ombre ; ils furent saisis de frayeur lorsqu’ils y pénétrèrent.
Et, de la nuée, une voix se fit entendre : « Celui-ci est mon Fils, celui
que j’ai choisi, écoutez-le. »
Quand la voix eut retenti, on ne vit plus que Jésus seul.Les disciples
gardèrent le silence et, de ce qu’ils avaient vu, ils ne dirent rien Ã
personne à ce moment-là .
C’est avec une grande joie, empreinte de signification, que j’accueille ce saint dimanche aujourd’hui. Premier jour ensoleillé après une semaine post Gemede maussade. Dieu soit loué ! Le 2 Mars 1947, jour de ma naissance était également un dimanche et la liturgie de la 2eme dimanche de carême, proposée par l’église ce jour là est la même d’aujourd’hui. Pour mémoire la lecture de la messe était dite en latin en 1947 et que peu de fidèles lisent la traduction. Merci chers parents, Papa et Maman, pour m’avoir donne le jour et de m’avoir bien éduqué et tout donné. Ils étaient bien parmi ce peu de fidèles choisis !
Maman dans une lettre qu’elle écrivit à son frère aîné, Ignace pour qui elle avait une affection particulière et une immense gratitude fit allusion à ma naissance en ces termes : « mon fils est né a l’hôpital de Moyen, tenu par le religieuses allemandes le jour de la célébration de la Transfiguration ». A cela Tonton Ignace lui répondit : « Heureuse soit tu car le fils que tu as donné vie, fils du premier fils de la famille, transformera ta vie et les relations avec la belle famille ».
Vraiment, ces paroles échangées à mon sujet, transmises plus tard, par Maman sont restées ma moto pour la vie. Cette transfiguration de Jésus continue de signifier pour moi : « quand on se laisse inonder par la présence de Dieu, Il nous rend blanc et éclatant comme neige et nous ne pouvons que rejaillir transformer de Sa lumière ». Ainsi ma mission dans la vie est d’être un catalyseur, qui au contact, avec la force reçu de Lui transforme positivement les êtres.
March 1st, 2007 — books, Entrepreneurship, Reflexion
In a day’s time, I shall major to what some people calls “age d’orâ€. Yes, I shall be entitled to the special treatments given to senior citizen: a government pension, free traveling on the public bus and reduced fare for air travel. Tom Peters, one of the business management gurus who I have been reading for years, also turned Sixty a few months ago. On the occasion he published a book which is a compilation of things he believes. “In search of excellence” was the first book I read from Tom Peters. Through the years I kept on reading his books and watching the videos of his seminars I could lay my hands on. Up till now I read his blog regularly. Like him I am still thriving and am still in search of excellence.Wow!
“Sixty,†by Tom Peters
A couple of weeks ago, I received an extraordinary book from our friend, Tom Peters, entitled, “Sixty.†I devoured it as my vacation reading. It is a magical compilation of 60 TIB’s or Things I Believe, as he calls them – one for each year of Tom’s life . . . so far. I add, “so far†as I sent Tom the cover of the AARP magazine a couple of years ago with the headline “60 is the new 30.†We are all blessed to have virtually a second adult life after 60. Fortunately for all of us, Tom is in the best health he has been for years and will continue to influence our thinking and our actions for years to come.
The compelling question is what will we do with our extra years? Retire? Not hardly. Ken Blanchard told us he prefers to think of it as refiring, not retiring. Nobel thought. We would like to think that we can have even more influence and make a bigger difference in our experienced years. They say we have two ages: our chronological age and our biological age. To this we add a third, our experiential age. While it is physically healthy to reduce our biological age, we contend that it is mentally and spiritually healthy to expand our experiential age. Said another way, in five years, will you have muddled through one year five times or will you have increased your experiential age by 10 years, learning more exponentially each successive year? Leaning into life and being our best selves is not only valuable for leaving a legacy that will outlive us, but, more importantly, our experience and knowledge is basically all we take with us to the next life. The concept of “he who dies with the most toys wins†has long since been debunked. (You don’t see U-Haul trailers behind hearses.)
Back to Tom Peters outstanding book, “Sixty.†It is a piece of art. A unique combination of design, images, and paradigm-shaking content. For now, for the sake of brevity, I will highlight an excerpt from one of my favorites.
“Excellence is a state of mind.â€
“I don’t believe in the tooth fairy. And I don’t own a pair of rose-colored glasses. On the other hand, I do believe: I believe in the possibility of turning any task, assignment, project, or job into a Gem-Mighty Quest. I believe in the possibility of widespread excellence . Note, I said . . . possibility . . . of excellence.
Enter old Tom. That is…Thomas Watson…the de facto IBM founder. Rumor has it that Watson was once asked, ‘How long does it take to achieve excellence?’ His response, pre-dating Ken Blanchard by decades, was, ‘A minute.’ He continued by claiming that excellence was entirely in the hands of the perpetrator, no matter how ‘junior’ or ‘powerless’ Excellence…a state of mind? A decision, actually, per Watson. A decision… right now… to… never again …do anything that is not excellent.
. . . If you are an exercise freak (and I am…most of the time), you know exactly what I am talking about. You may be breathless…but there’s little that’s more self-satisfying than knowing that you’ve pushed yourself right to the edge of the possible…and then a little beyond. That feeling, I contend, is replicable…on any task…at any time. Does ‘it’ turn you on? Will ‘it’ have been marked by…excellence? And if not, precisely what do you intend to do about it? Right now?â€
Thanks Tom!
May we all follow Tom’s example, keep making waves of influence, and live our lives like we mean it.
February 28th, 2007 — Entrepreneurship, Mauritius, Reflexion
Article paru sur le journal il y a quelques jours.
Les tarifs de MT sur le câble SAFE trop chers
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La Banque mondiale (BM) critique les tarifs pratiqués par Mauritius Telecom (MT) pour la connexion au système SAFE, câbles sous-marins en fibre optique qui relient Maurice à l’Afrique, l’Europe et le Sud-est asiatique.
Elle estime que ces tarifs sont de 350 % au-dessus d’un niveau globalement compétitif. Elle considère que MT doit ajuster ses tarifs au taux international, les coûts élevés de télécommunication décourageant l’investissement, interne et externe. Elle souligne que priorité doit être accordée à la réduction des tarifs de connexion à SAFE.
Pour la BM, si les taux de télécommunications internationales sont excessifs, le développement du business process outsourcing et des centres d’appels s’en trouvera entravé. L’accès aux vastes ressources de l’Internet sera également limité. Les tarifs excessifs affectent aussi la profitabilité des investissements potentiels et envoient en même temps un mauvais signal. |
Le même message évoqué par J Michel Billaut. Il nous faut se battre pour que les tarifs permettent le développement.L’ avenir de Maurice est en jeu.
Je suis d’opinion que les tarifs de l’inter connectivité ne sont pas d’ordre économique mais de l’ordre politique et de vision de l’avenir du pays. Comment faire pour bouger la politique ? Avez-vous une idée ? Une lettre ouverte aux autorités ?