August 9th, 2007 — Mauritius, Reflexion
We shall have to modify our eating and drinking habits. The price of milk and milk derivative products is likely to reach higher price. In Mauritius, the production of milk is negligible in comparison to our consumption: Mauritius dependents on imports mainly from Australia, Europe and South Africa. We all recall the flop that the government State Trading Corporation had to face with the import of Indian milk.
The world scene of milk production and consumption is indicating a sharp increase of world market price.
In Europe, the price of cattle feeds has shot up as demand increases. The demand for milk and milk products are increasing so rapidly that the EC stock reserves are depleted and EC is considering increasing the production quotas. However the cycle to start production of milk will take some time. The higher demand comes from developing countries and mainly China.
In Australia, a large country producer of milk, the last drought has affected the production. The accrued demand for export has driven the export prices to new heights. This has resulted in a decreased export volume of production at higher prices.
Where do we in Mauritius stand in the face of this situation? What can we do?
Well change our eating and drinking habits. Do we need to eat Ras malai every week? Do we need to drink Alouda so often? With the rising price of gateau ‘dilait’ can be afford to eat them? We are under the tyranny of our purse. Last week our flat neighbour offered us some Soya milk, since she tried out her Soya milk making machine. For breakfast, I ventured to add the vegetarian fat free Soya milk to my brewed cup of Golden Pekoe tea. How awful! The pinch of my purse is not painful enough for me to accept the change in taste. However I sampled a cold glass of vanilla flavoured Soya milk drink; I was delighted.
The pinch of the purse will definitely drive the change in habits of the Mauritian.Adieu mon morceau de Camembert!
August 7th, 2007 — Blogging, Mauritius, People, Reflexion
My last week’s blog on Joseph TMK and Chinese culture got me back on the track on my studies of East & West culture, East & West thinking and their founding philosophies. Over the last few days, after a brief discussion with a reader of my blog, I was prompted to go back to my memories to revisit my observations of the similarities and differences of the East & West. It definitely helps to write down my thoughts to crystallize them.
These steps recall me of my teenage years when hungry for learning and knowledge; I enrolled to a philosophy introduction course given by Jesuits fathers at Centre St Ignace in Rose hill. For weeks on, I religiously attended the Saturday lectures and studied with all my might to increase my knowledge of the subject. These efforts in a way opened up my curiosity & brain and gave me this impetus to keep on learning. Ever since, I stayed a keen learner.
I recall the lectures of Father de Roton on Socrates and Plato who were the forefathers of Philosophy and how they founded the western mode of thinking.
The last few days then I went back to my books to read up about both Socrates and Plato to refresh my memory. Socrates himself although a great teacher did not hand over any writings, his immense contributions were through the works of his disciplines Plato, Xenophon, Aristotle and Aristophanes.
Perhaps his most important contribution to Western thought is his dialectic method of inquiry, known as the Socratic Method or method of elenchus, which he largely applied to the examination of key moral concepts such as the Good and Justice. It was first described by Plato in the Socratic Dialogues. To solve a problem, you would ask a question and when finding the answer, you would also have an answer to your problem. This led to the beginning of the Scientific Method, in which the first step says to name the problem in the form of a question. For this, Socrates is customarily regarded as the father of political philosophy and ethics or moral philosophy and as a fountainhead of all the main themes in Western philosophy in general.
Could we teach the Socratic Method to our youth of today? Could we bring Socrates and Plato back to life for our population of Mauritius? Â I would wish that the authorities of Education in Mauritius could hear me.
August 6th, 2007 — Messe, Reflexion
Lc 12,13-21.
Du milieu de la foule, un homme demanda à Jésus : « Maître, dis à mon frère de partager avec moi notre héritage. » Jésus lui répondit : « Qui m’a établi pour être votre juge ou pour faire vos partages ? »
Puis, s’adressant à la foule : « Gardez-vous bien de toute âpreté au gain ; car la vie d’un homme, fût-il dans l’abondance, ne dépend pas de ses richesses. » Et il leur dit cette parabole : « Il y avait un homme riche, dont les terres avaient beaucoup rapporté.
Il se demandait : ‘Que vais-je faire ? Je ne sais pas où mettre ma
récolte.’ Puis il se dit : ‘Voici ce que je vais faire : je vais démolir mes
greniers, j’en construirai de plus grands et j’y entasserai tout mon blé et tout ce que je possède. Alors je me dirai à moi-même : Te voilà avec des réserves en abondance pour de nombreuses années. Repose-toi, mange, bois, jouis de l’existence.’ Mais Dieu lui dit : ‘Tu es fou : cette nuit même, on te redemande ta vie. Et ce que tu auras mis de côté, qui l’aura ?’ Voilà ce qui arrive à celui qui amasse pour lui-même, au lieu d’être riche en vue de Dieu. »
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Sans conteste, la lecture de l’Evangile et la réflexion sur le texte m’envoie vers l’essentiel. Ne sommes nous pas que des passagers sur la terre pour atteindre notre but éternel ? J’y crois. Mais croire seulement n’est pas suffisant. Etre riche en vue de Dieu est la difficulté. Comment faire pour y parvenir ? Comment amasser suffisament de richesses pour le passage ? Effectivement, le texte de l’Ecclesiaste, qui a été également proposé à la messe, considère toutes les affaires terrestres qui nous préoccupent sans cesse comme des vanités.
‘Vanité des vanités, disait l’Ecclésiaste. Vanité des vanités, tout est
vanité !’
Je demande au Seigneur de faire que je travaille sur l’essentiel et que mon passage sur cette terre ne me serve que pour amasser des points pour ma vie future chez Lui. Je prie également qu’un nombre grandissant de passagers de la terre y travaille dans le même sens en s’entraidant mutuellement.
August 6th, 2007 — Blogging, Mauritius, Reflexion
Depuis bientôt 2 ans j’habite dans un appartement en  Copropriété. En plus, je vis en ce moment l’expérience d’avoir pris la responsabilité d’être le président du conseil syndical de notre Copropriété. Pour l’expérience, j’avoue que c’en est une bien belle ! Je considère que les mauriciens en général n’ont pas l’habitude de vivre en Copropriété et ne  sont pas conscients des contraintes à  vivre dans une proximité rapprochée et d’avoir besoin de partager en permanence l’utilisation des facilités communes.
Des propriétaires qui refusent de payer les charges communes votées par l’assemblé des propriétaires, nous en avons. La Copropriété se trouve dans l’obligation de les traduire en justice ! Des voisins qui essaient de tirer les draps vers eux en voulant toujours plus que les autres, nous en avons. Des resquilleurs qui squattent votre parking privatif dès que vous êtes absents, nous en avons aussi !
Pour accéder à mon appartement, je suis obligé d’utiliser un passage commun et ce, en respectant les règlements dictés par la Copropriété. Vu la proximité de mes voisins, je dois être vigilant pour ne pas les incommoder. La même règle s’applique également aux personnes qui me visitent.
Comment faire comprendre les règles de la bienséance aux récalcitrants agressifs et changer les comportements de certains co-propriétaires ? Comment faire évoluer leurs mentalités vers un plus grand respect des autres, de leur biens, avec une courtoisie acceptable ? Déjà , malgré une sélection occasionnée par le coût élevé des appartements, nous avons des propriétaires qui ont peu de sens civique; je pense aux immeubles NHDC où est entassée une population sans éducation civique, et belligérante. Bien sur être nantis ne veux pas dire avoir un savoir faire social !
Pour certains, vivre en communauté et en copropriété n’est pas simple.
Comme nous sommes régis par le code français en matière de copropriété à Maurice, je reproduis ci- après quelques éléments & définitions glanés sur l’internet :
Principes de lotissement
La copropriété est divisée en lots.
Un lot de copropriété est composé de manière indissociable :
- d’un élément privatif ou partie privative : appartement, garage, local commercial, cave, etc. réservé à l’usage exclusif de son propriétaire.
- d’une quote-part des parties communes et des équipements communs de l’immeuble (sol, couloirs, escaliers, toiture, gros-Å“uvre, ascenseur, etc).
Certaines parties communes, dites “parties communes générales”, sont la propriété de l’ensemble des propriétaires et sont destinées à l’usage de tous : toiture, murs, espaces verts, etc. D’autres, dites “parties communes spéciales”, sont réservées à certains propriétaires (ceux d’un bâtiment déterminé).
La quote-part des parties communes dont chaque copropriétaire est titulaire est exprimée en tantièmes (millièmes, 10 000°, 100 000°, etc.) et est évaluée en proportion de la valeur de son lot par rapport à l’ensemble des autres lots de l’immeuble. Les parties privatives, les parties communes et les tantièmes sont définis par l’état descriptif de division et le règlement de copropriété, qui est un document ayant valeur de contrat à l’égard de chaque copropriétaire. Les parties communes, qui sont en principe listées dans le Règlement de Copropriété, sont gérées par le Syndic, conformément aux décisions prises en Assemblée Générale par les Copropriétaires, selon les règles de majorité prévues par la loi.
Principes de fonctionnement
Copropriétaire
Le copropriétaire est le « propriétaire d’un lot ou de plusieurs lots » chacun composée d’une partie privative avec droit de jouissance exclusif et d’une fraction de partie commune en indivision.
Chaque lot est attribué à un copropriétaire. Le copropriétaire n’a aucune obligation d’habiter son logement. Il peut être à sa convenance résident ou bailleur. De même, s’il est résident, il peut à sa convenance faire usage de son logement à titre de résidence principale ou à titre de résidence secondaire.
L’ensemble des copropriétaires est regroupé au sein du Syndicat des copropriétaires. Le syndicat des copropriétaires est constitué de l’ensemble des copropriétaires, sans exception. Doté de la personnalité juridique (c’est donc une personne morale), il administre les parties communes, assure la conservation de l’immeuble et la défense des intérêts collectifs. Il est responsable des dommages causés aux copropriétaires ou aux tiers.
Syndic
Le Syndic a la charge de gérer l’immeuble et les équipements communs.
Il est le mandataire du syndicat des copropriétaires. Il n’est pas le représentant de chaque copropriétaire, individuellement. Le Syndic est désigné par l’Assemblée générale. Son mandat est renouvelé tous les trois ans au maximum. Il a trois missions :
- il exécute les décisions de l’assemblée générale et applique les dispositions du règlement de copropriété ;
- il administre la copropriété : gestion de l’immeuble (souscription des contrats de fourniture et d’entretien, engagement du personnel) et gestion comptable (recouvrement des charges de copropriété et règlement des fournisseurs) ;
- il représente le syndicat des copropriétaires dans tous les actes civils et en justice.
Conseil syndical
Le Conseil syndical est un organe de liaison entre les copropriétaires et le Syndic.
Sa mission est d’assister le Syndic et de contrôler sa gestion. Il a un rôle consultatif et n’a pas de pouvoir de décision. Ses membres sont choisis parmi les copropriétaires et sont élus par l’Assemblée générale. Pour exercer sa mission, il peut prendre connaissance et copie auprès du Syndic de tous les documents se rapportant à la gestion et à l’administration de la copropriété.
Le conseil syndical est généralement dirigé par un président. Dans certaines copropriétés, le président du conseil syndical tient un rôle public de représentant des copropriétaires.
Le conseil syndical peut, si besoin est, se faire assister d’un technicien de son choix, dont les honoraires sont à la charge de l’ensemble de la copropriété.
Résident, Bailleur et Locataire
Un résident désigne celui qui réside dans l’immeuble. Il est soit copropriétaire soit locataire. Il a la jouissance de l’immeuble. Il n’est membre du Syndicat des copropriétaires que s’il est propriétaire d’un lot.
Tout copropriétaire est libre de louer son logement à un locataire. Tout locataire verse un loyer au propriétaire du logement dans le cadre d’un contrat passé entre lui et le copropriétaire. Les locataires sont libres de se constituer en association pour exposer leurs projets au Syndicat des copropriétaires, et les défendre.
Un bailleur est un copropriétaire qui met son (ou ses logements) à la disposition de locataire(s).
Règlement de copropriété
Le règlement de copropriété comporte 2 parties : un état descriptif de division en lots de copropriété qui énumère et définit les parties privatives et les parties communes et une partie règlementaire qui détermine leurs conditions d’utilisation. Il fixe les différentes catégories de charges auxquelles chaque lot doit contribuer, en respectant les principes légaux de répartition. Il précise les droits et obligations de chaque copropriétaire, et l’organisation générale de la copropriété.
Lors de l’achat d’un lot, il a la valeur d’un contrat entre l’acquéreur et le Syndicat des Copropriétaires. Comme pour tout contrat, il est recommandé de le lire attentivement et d’en respecter toutes les dispositions.
Assemblée générale
L’Assemblée Générale permet aux copropriétaires de prendre toute décision utile se rapportant à la gestion de l’immeuble : entretien, chauffage, aménagement, recouvrement des créances, choix du Syndic, etc.
Le Syndicat se réunit en Assemblée Générale au moins une fois par an. L’Assemblée Générale est l’organe d’expression du Syndicat des Copropriétaires. Elle est constituée de l’ensemble des copropriétaires, sans exception. Chaque copropriétaire détient autant de voix qu’il possède de tantièmes dans les parties communes de la copropriété. Elle seule a pouvoir de décision, par le vote. Elle suit des règles obligatoires de convocation, de quorum, d’ordre du jour et de majorité.
August 2nd, 2007 — Chinois, People
Last Saturday, besides spending a good time in company of my friends around a wonderful typical Hakka meal in a restaurant in Port Louis Chinatown, I had the immense pleasure to listen to a talk given by Joseph Tsang Man Kin on Chinese culture. This talk is one of a series of talks organised by the Chinese Cultural Centre on the theme of Chineseness. I am avidly waiting for the next talk.
First of all, I was agreeably surprised by the high quality of the Pooyang hall and the perfect sound systems. I have to congratulate the Nam Soon community for their excellent facility. I almost wanted to claim my 37.5% of Nam Soon descent from my mother’s family side and felt very proud of it.
Joseph TMK made ‘a survol’ of his understanding of the basic differences between the Western and Chinese approaches and culture. We all know very well, for having been educated in the western world, the philosophy which has influenced the western thinking, thus formulated the western behaviour. The great philosophers from Greek era and later the thinkers of the Roman Empire, the Judeo-Christian Church up to the more recent influencers of the last century of the like of Nietze and others, have all moulded the western culture. Whilst not being conversant with the influences of the Chinese culture, I was glad to listen to the experience and learning of Joseph TMK. Reading and learning from the Chinese thinkers of the past will definitely enlighten us on our culture. Unfortunately, not being able to read the texts in Chinese will in some way biase my understanding. Better than nothing! I shall learn of the culture through the translation of a foreign language. Luckily, the culture and tradition which I have received through my upbringing in my family surroundings will compensate some of the dilution losses.
Confucius was at the nexus of Joseph’s discourse. Without doubt, Confucius brought in the greatest influence on modern Chinese. Confucian values are now back after a lull and the attempt by Mao to suppress their influence during the red revolution. The People’s Republic of China is even today promoting the values of Confucius by encouraging the setting up of Confucius Institutes world wide.
At the Q&A session, Joseph TMK mentioned that whilst Confucius focused more on the practical, physical, relational and social aspects of the Chinese behaviour, we have to refer to Xun zi and Lao Tze for the spiritual side of the Chinese.
This talk got me to shoot back to my notes on Chinese and roots.
Confucius
Confucius is the Latinized form of Kong Fu-zi, which means Kong the master. Confucius was born in the small state of Lu in 551 BC and died in 479 BC. This was a time of turmoil, political intrigue, and numerous small wars in the last part of the Spring and Autumn era. Assassinations, bribery, adultery, and other crimes were common even though punishments were severe. In Lu three families contended for the hereditary rulership, while numerous educated aristocrats sought positions in the government, and many suffered poverty.
Confucius was brought up as a gentleman, who took up music, archery, and fishing, although he said he fished without a net and would not shoot at a bird at rest. He was so absorbed in music that once he did not know the taste of meat for three months. He also learned to do practical jobs of humble people such as keeper of the stores and head of the pastures. However, most of the time Confucius was not able to find an official position though he was willing to do anything that did not involve wrong-doing. Perhaps it was his ethical concerns that prevented him from being useful to the rulers of his time. Instead he occupied his time in what he loved the most – the pursuit of learning.
By the age of fifteen Confucius had set his heart on learning; by thirty he felt that he was firmly established; at forty he was no longer confused; by fifty he had a sense of mission in following the will of heaven; at sixty he was at ease with whatever he heard; and when he was seventy, he felt he could do whatever he liked without violating moral principles. No single teacher had a great influence on Confucius, as he tried to learn from everyone. His model, however, was the ancient Duke of Zhou, who had helped to establish the Zhou dynasty. The spiritual connection he felt with the ancient duke is indicated by his regret once that it had been a long time since he had dreamed of the Duke of Zhou. Confucius studied thoroughly the classics of history, poetry, propriety, and especially the Book of Changes (Yi Jing). He believed that if he could spend fifty years studying Changes, he might yet be free of great mistakes.
In addition to teaching, Confucius is credited with editing the Book of Odes and the Spring and Autumn Annals, revising the music and ceremonies, and writing commentaries on the Book of Changes. The main source of his teachings describing his conversations with his students in the Analects (Lun Yu) was apparently written by his students. From these accounts we can see not only what Confucius taught but how he taught and what his attitudes and manners were like. He was said to be free of having forgone conclusions, dogmatism, obstinacy, and egotism. His manner was affable but firm, commanding but not harsh, while he was polite and completely at ease. Zigong said Confucius could get information in a foreign state by being cordial, frank, courteous, temperate, and deferential. Zigong added that this was not the way inquiries were usually made. Confucius had a gentle sense of humor and did not mind being corrected by his own students.
Confucius was particularly respectful of those in mourning and made filial piety or respect for one’s parents a cardinal virtue. He said,
In serving his father and mother
a man may gently remonstrate with them.
But if he sees that he has failed to change their opinion,
he should resume an attitude of deference and not thwart them;
may feel discouraged, but not resentful.3
Confucius cared most about people and was perhaps the first great humanist in history. When the stables burned down, he asked if any person had been hurt but did not inquire about the horses. He recognized the free will of every individual, believing that the commander of three armies could be removed, but the will of even a common person could not be taken away. He spoke of the way (dao), as when he said, “In the morning hear the way; in the evening die content;”4 yet he believed that it was humans who made the way great, not the way that made humans great. Confucius believed that he could even live among the barbarians, because virtue never dwells alone and will always bring good neighbors. He believed that a gentleman should help the needy, not make the rich richer still. Confucius criticized Yuan Si for rejecting his salary of nine hundred measures of grain as governor, because he could have given it to his neighbors.
Confucius never gave up and believed that he was serving by being filial even if he was not in the government. He never expected to meet a faultless person but hoped that he might meet someone of fixed principles even though he saw many examples of nothing pretending to be something. He greatly disliked sham and deceit. He felt he could not stoop to clever talk, a pretentious manner, and a reverence that was only of the feet. He could not bear to see high offices filled with men of narrow views, ceremonies performed without reverence, and mourning forms observed without grief. He hated seeing sharp mouths overturning states and clans.
Confucius believed that his mission was to spread the culture that had been passed on to him by King Wen, and trusting that this was the will of heaven he did not even fear an assassin. He must have believed in prayer, because he said that whoever turns away from heaven has no one to pray to. He hoped that even if he was not recognized in the world, he would be known in heaven. When Confucius became ill, some of his students dressed up as retainers; but the master reprimanded them for this pretense, because he knew he could not deceive heaven. He preferred to die in the arms of his disciples anyway. Although he believed there were others as honest as himself, Confucius felt that no one loved learning as much as he did. Any situation could be a lesson. When walking with others he could emulate the good qualities he saw in others and correct the bad qualities in himself. Confucius did not believe himself to be a sage or even perfectly virtuous, but he did claim unwearying effort to learn and unflagging patience in teaching others.
Confucius believed that people were similar by nature but became different by practice, and thus there are some one can join in study, others one can join in progress along the way, others again beside whom one can take one’s stand, and finally some whom one can join in counsel.
Text extracted from the writings of Sanderson Beck
August 1st, 2007 — People, Reflexion
Aux nouvelles ce matin, j’ai cru comprendre qu’il y aurait une grande volonté ferme des grandes puissances à avancer sur le dossier ‘Darfour’. Hier encore, par amitié pour moi et mes amis de l’APM île Maurice, j’avais reçu d’Alexandre Del Valle, son dernier entretien avec le fondateur de ‘SLM’. Je dois avouer, ayant ecouté et discuté avec Alexandre del Valle le mois dernier lors de son passage chez nous, et à la lecture de son livre « le Dilemme turc », je suis bien plus sensible aux enjeux géopolitiques qui se dessinent dans le monde, surtout en relation avec les peuples ou pays islamiques et la situation géographique où se trouvent les réserves de pétrole. Je comprends mieux l’enjeu des élections turques tenues la quinzaine passée. Aurons nous une Turquie Européenne séculaire, ou la Turquie serait-elle le loup dans la bergerie ?
Le prix du pétrole ne cesse d’augmenter, et par la même occasion tout augmente. Sommes nous dans une spirale de flambée de prix sans précèdent? Pauvre de moi qui suis à la retraite, touchant une pension non indexée à l’inflation, et qui a peu de possibilité d’augmenter mon revenu! C’est vrai, quand vieillissant, nous avons moins besoin d’épargner pour l’avenir ; cependant, les dépenses pour les soins de santé sont en hausse constante.
INTERVIEW d’Abdul Wahi Al Nour,
Fondateur du Mouvement de Libération du Soudan (SLM)
et leader de la rébellion du Darfour
1/ Alexandre del Valle : M. Al Nour, vous êtes le leader de la rébellion du Darfour, assiste-t-on à un génocide ?
Le Soudan est une mosaïque de peuples ; l’Islam n’est pas la religion de tous, et tous les musulmans ne veulent pas vivre un islam intégriste. Ce gouvernement poursuit une guerre effroyable au Sud où plus de 2 millions de personnes ont été assassinées ; dans les Monts Nouba, il a déclaré le Jihad et la population a été décimée. Il se tourne maintenant vers nous qui sommes musulmans parce que nous sommes noirs: il n’y a presque pas de routes, d’hôpitaux et d’écoles au Darfour. La réponse du gouvernement islamiste a été le bombardement des villages et la création de milices d’assassins (Jandjawids) qui tuent, violent et pillent. Les hommes sont assassinés, les enfants emportés en esclavage ! Les champs et les villages sont brulés. C’est un vrai génocide !
2/ Quelle est l’ampleur des dégâts humanitaires ?
Selon les chiffres de l’ONU, il y avait en 2004 au moins 2,5 millions de réfugiés et de déplacés dans des camps et 200.000 morts. Depuis, les morts ont doublé et personne ne parle des « in between », ces gens qui n’ont plus de villages et qui ne veulent pas vivre dans les camps et s’installent n’importe où. Ils sont 1,5 millions, personne ne parle d’eux, et ils n’ont accès à aucune aide humanitaire. Tous ces gens n’ont plus rien : ni village ni biens. Leurs champs ont été brûles. Le gouvernement soudanais a installé sur nos terres des nomades arabes (au moins 130.000 ), venus souvent du Niger,! C’est inacceptable ! Nous nous battrons jusqu’au bout pour reprendre nos terres.
3/Comment expliquer l’indifférence de la communauté internationale ? Pourquoi les aides occidentales sont plus destinées au mouvement darfouri islamiste JEM qu’à vous, qui êtes pour un Soudan démocratique et laïc ?
Jamais il n’y a eu autant d’aide humanitaire ! On nous assiste comme des enfants, on nous nourrit, on nous apporte de l’eau, on nous soigne… mais on nous laisse nous dessécher dans des camps qui ne sont même pas sécurisés. A défaut de décision politique, on nous laisse à la merci des assassins, on ne nous aide pas à nous défendre ! Donnez nous de quoi nous défendre. La communauté internationale a peur des Arabes. Dans notre mouvement, il y a des gens de partout au Soudan, des gens du Sud, des Monts Noubas, de l’Est et du Nord, il y a aussi des Arabes qui veulent vivre en paix dans un pays libre. Nous n’avons rien contre les Arabes. Nous luttons contre les intégristes qui ont pris le pouvoir par un coup d’état militaire. Le JEM (Mouvement pour la Justice et l’Egalité, islamiste) a pour maitre à penser celui du gouvernement, Hassan al Tourabi ! Il est aidé par la Lybie, Dubaï et l’Arabie Saoudite. Il ne représente pas de force sur le terrain ; il achète les gens dans les camps de réfugiés. Il a une force de persuasion en occident, surtout en Angleterre. Mais, nous sommes des démocrates et le JEM doit avoir sa place dans des négociations. Nous appelons à un dialogue pour que tous les darfouris soient représentés. Mais aucun parti politique ne doit être religieux ! L’Etat et la religion doivent être séparés. Chacun doit vivre quelle que soient ses convictions religieuses.
4/ Quelle est votre représentativité dans le Darfour et dans le Sud en général ?
Nous sommes le mouvement le plus représentatif au Darfour et dans tout le Soudan. Nous sommes liés aux mouvements du Sud où le gouvernement ne respecte pas ses engagements ; le vice président du sud n’a aucun pouvoir. Le Soudan n’a respecté aucune des résolutions internationales. Aujourd’hui, les dirigeants au Soudan des Nations Unies ont pris conscience de notre représentativité.
5/ Pourquoi parle-t-on du Darfour et pas de l’ensemble du Soudan musulman, animiste et Chrétien ?
La crise apparente et dramatique est aujourd’hui au Darfour. Il s’y passe des crimes contre l’humanité. La Cours Pénale Internationale a mis en examen deux hauts dirigeants. Mais ils n’ont pas été extradés. L’un d’eux est même devenu ministre des affaires humanitaires ! La guerre au Sud a duré 20 ans et fait 2,5 millions de morts. Les Dinka ont été décimés dans un jihad ; aujourd’hui il y a une opposition forte à l’est dans la région du Nil Bleu et dans le Nord.
6/ Sont-ce des massacres inter-tribaux ou un génocide arabo-islamiste de Khartoum contre les non musulmans noirs et les musulmans non arabes ?
Le gouvernement instrumentalise les conflits inter-tribaux. C’est une guerre arabo-islamiste. Il est triste qu’aucune voix africaine ne s’élève en dehors de Desmond Toutou.
7/ vous avez parlé à la mutualité avec Richard Rossin, Jacky Mamou du collectif Urgence Darfour* et Bernard Henri Lévy ; vous avez été reçu par Bernard Kouchner. Le Président Sarkozy et M. Kouchner peuvent-ils vous aider ?
Les candidats se sont engagés à aider mon peuple. Madame Guedj a signé au nom du Président Sarkozy. Richard Rossin et Bernard Henri Levy nous ont rencontré sur le terrain clandestinement. M. Rossin m’avait présenté Monsieur Kouchner que j’admire. Je suis persuadé que le Gouvernement français nous aidera.
8/ Jugez-vous utile l’idée de Bernard Kouchner de corridor humanitaire ?
Malheureusement, le Soudan a refusé cette idée. Malgré toute sa force de persuasion, M. Kouchner n’a obtenu qu’un vague engagement sous conditions pour une force hybride de protection des populations civiles dont le déploiement avait été voté il y a un an par le Conseil de sécurité… La duplicité de Khartoum est évidente…
9/ Sue peut faire la France ? Comment votre Parti peut-il sensibiliser la communauté internationale et renverser la junte islamiste de Khartoum ?
En défendant notre cause dans les instances européennes et internationales et faire en sorte que les résolutions ne restent pas lettres mortes. Aidez nous concrètement à nous défendre ! Qu’on arrête de tuer notre peuple, qu’on arrête de violer nos femmes. Vous ne pouvez pas juste regarder le massacre comme au Ruanda.
* Le Collectif Urgence Darfour a publié aux éditions “des idées et des hommes” :Urgence Darfour ouvrage collectif (BHL ; Gluucksman, Kouchner, Prunier, Rossin).
July 31st, 2007 — Uncategorized
Le week-end dernier, avec des amis, nous discutions entre autres sujets, la motivation des islamistes fondamentalistes et la motivation de ses kamikazes. Mon ami ‘E’ pensait que les suicidaires sont convaincus qu’ils seront largement récompensés à leur mort : le paradis les attend. Un bonheur éternel qui consisterait à jouir des plaisirs sexuels que 72 femmes vierges (houris)  pourraient  leur donner sans fin. Le vrai bonheur! Je pensai que c’était assez simpliste et  grossier de réduire la pensée de l’Islam qu’au sexe !
Et voilà , dans une émission à la télévision que je regardais sur « Voyage » hier soir, je tombe sur une citation du romancier Yann Moix dans son livre ‘Partouze’ qui se lit comme ceci :
AU LECTEUR
Le véritable enjeu du terrorisme, c’est le sexe. Le véritable combat d’Al Qaïda n’est pas tant religieux que sexuel. L’islam des fondamentalistes entend nous apporter la solution définitive à nos problèmes occidentaux de souffrance sentimentale, de romantisme, de romans d’amour, de chansons d’amour : il s’agit, tout simplement, de remettre, par une lecture très particulière du Coran, de l’ordre dans le désordre sexuel qui menace de s’installer partout sur la planète. En somme, l’islam de Ben Laden propose aux hommes de ne plus souffrir à cause de leurs femmes, de leurs maîtresses, de leurs petites copines, de leurs nanas, de leurs meufs. Il s’agit de maîtriser le chagrin amoureux en élaborant un système d’asservissement des femmes ; en se lançant, à travers les attentats, dans une entreprise folle, sanglante, apocalyptique de contrôle absolu de l’orgasme des femmes. C’est cette vision du monde qui fait que Mohammed Atta, le 11 septembre 2001, s’encastre dans les tours du World Trade Center, impatient qu’il est de se faire sucer pendant une éternité par des vierges, au paradis des islamistes. En attaquant l’Occident, les terroristes s’attaquent en réalité aux bites occidentales, aux chattes occidentales, aux plaisirs occidentaux. Le lieu suprême du Mal, c’est donc, symboliquement, la boîte échangiste. La partouze est la pire des provocations : c’est sur les lieux sexuels qu’Al Qaïda frappera désormais. Voici, à travers l’histoire d’un pauvre romantique converti bien malgré lui à la débauche sexuelle dans un univers où les ” obsédés ” sont sans aucun doute devenus les femmes, comment on peut lire ce choc des civilisations qui entraîne le monde dans l’horreur. » Yann Moix.
Est-ce la vérité ? ou de l’intox ?
July 30th, 2007 — Entrepreneurship, Reflexion
Is it a FEAT to be a successful Entrepreneur in Mauritius?
The management of your reputation to bring up trust with the people you deal with is of prime importance.
 Fear
Most people have reputations in crisis due to fear. They avoid doing the right thing because of fear. They hurt others because of fear, but most importantly, they hurt themselves because of fear. To overcome fear, we all need to think of someone bigger than ourselves. Being humble enough to ask yourself the following question is a good place to start: how am I hurting and affecting other people with my behavior?
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 Ego management
Ego management is an important first step in reputation management. When your ego grows too big, it is impossible to best repair your reputation. Replace ego-driven communication with humble, honest and transparent communication and you will be on your way to repairing your reputation.
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 Accountability
To best build, maintain or repair an excellent reputation for a lifetime, you must set up a true accountability structure in your life. Who is your accountability partner? Most people really don’t have one. A true accountability relationship includes honesty with a capital H. You must be fully honest and share all of your struggles and wrong doing with your accountability partner. You must also give your accountability partner permission to “call you” on the things you are doing wrong and also allow your accountability partner to praise you for the things you are doing right. Your friend, spouse, sibling, pastor or therapists are all excellent examples of accountability partners.
 Trust :Truth vs. Spin
Truth and honesty are the greatest building blocks or “bricks†of reputation management. Spin is a four-letter word. Spin is a lie and it is not your friend. Avoid spin (lies) to avoid a reputation in crisis. To be honest with others, you first must be honest with yourself. Honesty creates trust and trust is your reputation’s greatest friend.
July 29th, 2007 — Messe, Reflexion
Lc 11,1-13.
Un jour, quelque part, Jésus était en prière. Quand il eut terminé, un de ses disciples lui demanda : « Seigneur, apprends-nous à prier, comme Jean Baptiste l’a appris à ses disciples. »
Il leur répondit : « Quand vous priez, dites :’Père,que ton nom soit
sanctifié,que ton règne vienne. Donne-nous le pain dont nous avons besoin pour chaque jour. Pardonne-nous nos péchés, car nous-mêmes nous pardonnons à tous ceux qui ont des torts envers nous. Et ne nous soumets pas à la tentation.’ » Jésus leur dit encore : « Supposons que l’un de vous ait un ami et aille le trouver en pleine nuit pour lui demander : ‘Mon ami, prête-moi trois pains : un de mes amis arrive de voyage, et je n’ai rien à lui offrir.’ Et si, de l’intérieur, l’autre lui répond : ‘Ne viens pas me tourmenter ! Maintenant, la porte est fermée ; mes enfants et moi, nous sommes couchés. Je ne puis pas me lever pour te donner du pain’, moi, je vous l’affirme : même s’il ne se lève pas pour les donner par amitié, il se lèvera à cause du sans-gêne de cet ami, et il lui donnera tout ce qu’il lui faut.
Eh bien, moi, je vous dis : Demandez, vous obtiendrez ; cherchez, vous trouverez ; frappez, la porte vous sera ouverte.
Celui qui demande reçoit ; celui qui cherche trouve ; et pour celui qui
frappe, la porte s’ouvre. Quel père parmi vous donnerait un serpent à son fils qui lui demande un poisson ? ou un scorpion, quand il demande un oeuf ? Si donc vous, qui êtes mauvais, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, combien plus le Père céleste donnera-t-il l’Esprit Saint à ceux qui le lui demandent ! »
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Ce dimanche, la lecture de l’Evangile m’a renvoyé à une personne que j’avais rencontrée dans les années 60. A travers l’Internet,  et à ma grande surprise, j’avais découvert les écrits d’Arlette Orian. J’étais heureux de  lui avoir parlé au téléphone pour la féliciter quelque temps avant son départ vers l’Eternel.
Voici un texte d’elle sur le Notre Père :
Redécouverte du Notre Père
J’avais, il y a quelques mois, pour des villageois d’un petit village au pied d’une montagne, pour des enfants de 5 à 12 ans, qui comprennent le créole (le patois dérivé du français et qui est compris de toute la population) expliqué les prières essentielles : le “Notre Père”, le “Je vous salue Marie” et surtout le “Credo” qui est la prière la plus compliquée que je connaisse même pour des jeunes parlant très bien le français…
J’avais donc expliqué, entre autres, le Notre Père. Mes “enfants” l’ont bien assimilée. Or, aujourd’hui, lors d’une réunion à la cure de ma paroisse, à Bambous, notre curé, un polonais, nous a expliqué le “Notre Père” et il m’a fait réfléchir car les deux phrases : “Que ton nom soit sanctifié”, “Que ton règne vienne” avaient un autre sens.
Pour moi, “Que ton nom soit sanctifié” voulait dire : Que ton nom soit reconnu, admiré, glorifié par tous les hommes et la seconde phrase “le règne de Dieu qui devait arriver” voulait dire, pour moi, tout simplement la seconde venue de Jésus sur la terre.
Or l’interprétation toute simple qu’il donna basée sur le mandement de Carême 1998 était celle-ci : “Que ton nom soit à nos yeux d’hommes et de femmes de ce monde reconnu comme Unique et que nous apprenions, grâce à l’oeuvre de l’Esprit Saint en nous, à reconnaître sa grandeur, sa sainteté en même temps que son humilité et que, par la grandeur et la sainteté de son nom, nous soyons sanctifiés.
C’était à peu près cela que je pensais mais, lui, en le disant, donnait à cette phrase une grandeur, une dignité nouvelle.
Quant à la seconde phrase : “Que son règne vienne”, il l’a expliquée tout simplement par : “Que tout le travail de l’Esprit Saint à l’intérieur de nous-mêmes purifie notre coeur. Nous rende libre, fraternel et responsable de nous et des autres, nous façonne, refasse en nous l’image de Dieu”.
Je n’avais jamais songé à cette façon de penser au règne de Dieu : Que le règne de Dieu vienne en nos coeurs actuellement, maintenant. Non pas, dans un avenir plus ou moins lointain mais dès maintenant. Qu’avec l’aide du St Esprit, Dieu règne dans noscoeurs.
Cette phrase a maintenant pour moi un sens profond. Quand je la dirai, j’y attacherai ce sens profond qui m’a bouleversée.
J’aime aussi quand je dis : “Donnez-nous notre pain de ce jour” dire à mes petits villageois : ce n’est pas du pain seulement qu’il vous faut demander, du pain vous en avez. Demandez à Dieu de vous donner ce qui vous manque le plus, ce qui vous marque le plus, qui vous fait souffrir : désunion de vos parents, alcoolisme, manque d’ardeur dans la prière, etc.
Si je le dis ici (ce que je dis est bête et comme je le répète, c’est surtout aux jeunes que je m’adresse) : Quand nous récitons le Notre Père, ne le banalisons pas. Donnez-lui tout son sens et, en y réfléchissant, comme ce soir, nous lui découvrons chaque soir une richesse nouvelle. C’est tout. Cette prière vieille de presque deux siècles, je l’ai redécouverte ce soir et je voulais vous faire partager mon émotion.
July 28th, 2007 — Entrepreneurship
Do you know what Death bonds are?
According to Matthew Goldstein in a recent edition of Business week: “Death bonds may be the most macabre investment scheme ever devised by Wall Street.â€
I was first hinted about these bonds when it was proposed to me by an investment company. It was part of the package offered as Insurance policies buy back. I further investigated the issue and found out that one of the options in the Insurance policies buy back was Death bonds. Â Â
How a life Insurance Policy becomes a Death Bond?
A person, typically 70 or older, who wants to cash out of a life insurance policy, hires a “life settlement†broker to find prospective buyers. The buyers keep paying the premiums until the sellers dies, and then they collect. The up-front payout to the seller varies widely, from 20% of the death of the death benefit to 40%.
A whole business is organized around a chain of professionals ranging from the broker, investment banker or hedge fund, investor and bond rater to ensure the death bonds are fabricated and marketed.
For sure the owner of the Insurance holder will one day die. The question is when? Actuarial studies will forecast very well the date and determine the up-front payout.
How ethical are the Death bonds?
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