Entries from August 2006 ↓

Entrepreneur: Why invent the Wheel?

Entrepreneur: Why invent the Wheel?

Mauritius is not the only country to count on Entrepreneurship to boost up the economy for the future. The US is living it. The development of start ups in the US is phenomenal. In France, Canada, Singapore, Malaysia and almost most all countries of the world, establishment of small enterprises and medium sized enterprises is being promoted. Literature thereon abounds on the net. Different models, according to the specific country needs are detailed in the different websites.

I found the website of the UK to be very interesting for us, Mauritius. Our trade laws were inherited from UK. So, we have a lot in common with them. UK has been for years ahead in the game of promoting Small Enterprises. Let us be inspired by their model and then adapt it to our operations and needs. A well of wealth is available to us on the web. Treasure hunting is now made easy through the search engines of the like of Google. Entrepreneurs go for it now. Act now.

Why invent the wheel? Use it to serve our purpose. The genius lies is in using the ideas of others to suit your specific purpose at the right time and right cost. Copying the idea of a guy is called plagiarism. Copying the ideas of many at the same time is call “research”. For the Entrepreneurs, the purpose is to turn ideas into workable businesses. Entrepreneurs are always Confronting Reality.Execution, Execution and Execution. Act now and execute.

ME Generation morphing to WE Generation

“Me” Generation morphing to “We” Generation

On reading 2nd August editorial of Daniel J. Kadlec of USA TODAY, I picked up the title and some ideas.

Quote

As boomers, turning 60, enter the traditional retirement years we are witnessing a grand transformation in this period of life, which has long been marked by withdrawal, entitlement and the pursuit of leisure. The emerging model embraces personal growth, giving back and continued employment. These hallmarks of the new retirement have the potential to reshape the economy and society to everyone’s benefit.

Do boomers really want to work longer? In a Merrill Lynch survey, 83% of boomers said they intended to work for pay full- or part-time after leaving their primary career. Certainly, some of them figure they’ll need the money. But most who work in their later years do so for other reasons. In a MetLife survey, nearly three of four working folks ages 66 to 70 said they chose to keep working to remain active and engaged. Needing income was a distant concern, ranking behind doing something meaningful and cultivating friendships with colleagues.

Un Quote

Indeed, this is my case. I am part of the baby boomer generation. I need to do something meaningful and keep on cultivating friendships. I for one, have found solace in blogging.

In Malaysia, the retirement age for government civil servants is 55. What they do thereafter? Many start a new life career. They start a new business and become entrepreneurs. Quite a number of highly skilled professionals joined together to form a corps of consultants. Tan Sri Dato’Soong Siew Hoong, secretary general of the Associated Chinese chamber of commerce of Malaysia, who I met some years ago, is one of the head of the corps of retirees acting as consultants called ERA( Expertise Ressource Association). He will be visiting the Chinese Business Chamber from the 7th to the 11th August. Let us pick on his brain to show us how to organize our own corps of consultants and network with the Malaysian ERA.

Wikipedia

I am amazed to read the development of Wiki. The short article of Wikipedia : perspectivesPar Marc Foglia et Chang Wa Huynh aroused my interest to such a wonderful story. I have been an ardent user of wikipedia without really appreciating the fantastic history behind it. Wikipedia today covers more pages than the Britannica. It is free, with a high degree of exactitude and is continously being updated. More over, it is off my laptop, so accessible and practical. I do not consult my old edition of the encyclopedia, I bought years ago.The series of 15 or so heavy books sit lazily and nicely on a bookshelf today.

Last Saturday, a friend came home and she was very keen in wanting to know more of a flower she was offered. Sure enough within a few seconds she had the information she wanted. The world of Magnificat Medinilla opened up to her.

Welcome to the world of Wikipedia.

Droit D’auteur et les Chinois

Texte retrouvé sur un blog que je vous recommande de visiter, si les chinoiseries, vous en dit des choses.

Moi. Oui, cela m’interesse.

Citation

La forme de l’écriture chinoise (utilisation de dizaines de milliers d’idéogrammes par rapport à un alphabet de 26 lettres) influe beaucoup, me semble t il , sur le rapport qu’un individu entretient vis à vis du savoir.

Pour l’occidental, il y a des clés pour comprendre. Une fois que j’ai saisi les 26 lettres, je peux facilement lire n’importe quel mot ; c’est un univers de possibles qui s’ouvre car je connais l’alphabet, je le maîtrise. C’est ainsi qu’en rassemblant une quarantaine d’érudits, on obtient l’académie Française qui jour le rôle de garant de la langue. Ici, 40 personnes peuvent veiller sur une langue.

Pour un chinois c’est tout autre chose : il a appris 25 caractères par jour, par cÅ“ur, jusqu’à sa classe de terminale, et il continue en tant qu’adulte. Les vieux lettrés (il n’y en a plus beaucoup), qui maitrisaient quelques dizaines de milliers de caractères, continuaient même à des âges de vieillards à en apprendre de nouveaux chaque jour. Il n’y a pas de clés.

On pourrait bien sur objecter en mentionnant les radicaux , qui se combinent pour éclairer quelque peu un caractère ou un mot : cerveau + électrique = ordinateur (Diannao ). Mais 5000 ans d’histoire se sont chargés de brouiller les pistes, et les clés ou radicaux de caractères ne permettent généralement pas d’accéder facilement à la phonétique du caractère ou à son sens. Donc le chinois ne tient pas la solution qui lui permet de se débrouiller ; il doit continuer à apprendre sans relâche, et évoluer dans un contexte d’incertitude.

Si l’on voulait rassembler une « académie chinoise », il faudrait des centaines d’experts pour prétendre faire tenir une portion significative de la connaissance linguistique dans une salle. Plusieurs empereurs ont essayé (Qin Shi Huangdi est resté célèbre pour cela juste avant la dynastie des Han), mais des chantiers de plusieurs années impliquant des centaines de personnes n’ont pu que produire des jalons dans l’histoire de la langue ; des points isolés de convergence qui prenaient des formes de dictionnaires mais ne duraient qu’un temps.

Revenons à l’attitude du chinois vis à vis de sa langue , et vis à vis du savoir en général : je ne sais pas ; je n’ai pas les clés ; chaque nouveau caractère est une énigme à déchiffrer.

Le problème de cette attitude, d’accord, c’est son caractère laborieux. A l’école c’est du « par cÅ“ur » tous les jours ; moins de dissertations, d’expression individuelle, de créativité. J’ai 25 caractères à recopier et à apprendre. Ce point joue certainement dans la difficulté qu’ont les chinois à appréhender la notion de propriété intellectuelle telle qu’elle est définie en occident ; il n’y a rien de mal à copier puisque je l’ai fait toute ma scolarité ; c’est comme cela que j’ai appris.

Mais l’attitude du chinois face au savoir n’est elle pas d’une modernité frappante dans notre époque d’incertitude, avec un futur indéchiffrable, qui nous demande sans cesse plus de flexibilité et d’ouverture à l’ambigu et au nouveau ?

Je vois autour de moi tellement d’européens qui vivent mal l’incertitude , qui s’accrochent à un savoir (à une clé) jusqu’à en devenir bornés ou coupés de leur environnement. Je vis moi même cela ; souvent en cours de chinois me vient un sentiment de révolte : pourquoi apprendre tout cela ? quand aurais je enfin les clés ? J’ai beau chercher mais je n’aurai jamais les clés. Soit je continue à apprendre, soit j’arrête et j’oublie tout. Par contraste en chine j’étais sans cesse frappé par la flexibilité des personnes dans le travail, et face à des situations mouvantes en général.

Fin de citation
Recherchons un business model qui rallierait l’habitutude millenaire des chinois au droit de propriete « copy right » que prone le monde occidental.

C’est bien en 1886, a la convention de Berne que les grands du monde occidental ont etabli la protection de l’intelligence intellectuelle:le droit d’auteur. En sont ils bernes ce jour avec la Chine?

ÉCOLE – ENTREPRISE : DEUX MONDES QUI S’IGNORENT

ÉCOLE – ENTREPRISE : DEUX MONDES QUI S’IGNORENT

Ecole et l’enseignement d’aujourd’hui préparent ils suffisamment nos jeunes pour leur entrées dans le monde du travail ? Le cursus de notre éducation nationale est il adapté aux besoins des entreprises de Maurice? Parmi nos 15000 étudiants chaque année, qui quittent nos écoles pour retrouver un emploi, combien sont conscients que leur chance d’emplois sera meilleur dans la mesure où ils ont une éducation adaptée et conforme aux besoins des entreprises? D’autre part, que font les entreprises pour avoir les employés prêts à l’oeuvre dans leur emploi ? Est ce que la somme d’argent déployée par l’éducation nationale, sert elle à préparer au mieux nos jeunes pour un emploi?

Semble-t- il notre île Maurice n’est pas seule à vivre ce dilemme ? En effet, j écoutais au mois d avril dernier une émission de radio France Inter qui avait bien travaillé ce dossier : Ecole- Entreprise. Des solutions et pistes de réflexion étaient suggérées. Entre autres un partenariat entre Université de Pontoise et la societe Veolia fut cité.

J’étais heureux de réécouter la semaine dernière France Inter, qui nous proposait une nouvelle diffusion en pod cast. Et voila, hier en grande pompe la MBC nous annonce qu’en grande première, l’Université de Maurice signe un accord de partenariat avec la CMT.L’evenement est repris ce jour sur L’Express.

Bravo à François Woo & Louis LaiFat Fur, décorés bien méritant de notre pays, d’entreprendre cette voie. Un « Win Win Win situation ». Win pour l’entreprise CMT qui s’assure de l’emploi des gens formés à sa demande, Win pour les jeunes qui trouvent des emplois conformes à leur compétence, et enfin, Win pour le pays qui, grâce à l’université, a bien investi dans l’utile sans superflu.

Quid des niveaux d’emplois plus inférieur? Ne sont ils pas bien plus nombreux ceux qui cherchent un emploi à 1a sortie de HSC ou SC ou encore à l’etape plus bas ?…..Une année de préparation et d’ apprentissage à l’emploi en alternance pour les jeunes, conjointement gerée par l’etat et les entreprises serait il possible ?